Hier, je faisais le plein de choux de Bruxelles chez ma maraichère préférée quand la discussion est tombée, assez inévitablement, sur le beurre. Je ne vais pas m'étaler 360 ans sur le mérite de l'approvisionnement direct, mais disons que plus le temps passe et moins j'achète de légumes ailleurs, et surtout pas dans les grandes surfaces. Certes, le choix est limité par la saisonnalité, la météo...

Le beurre et l’argent du beurre
Hier, je faisais le plein de choux de Bruxelles chez ma maraichère préférée quand la discussion est tombée, assez inévitablement, sur le beurre. Je ne vais pas m'étaler 360 ans sur le mérite de l'approvisionnement direct, mais disons que plus le temps passe et moins...
Le beurre et l’argent du beurre
Hier, je faisais le plein de choux de Bruxelles chez ma maraichère préférée quand la discussion est tombée, assez inévitablement, sur le beurre. Je ne vais pas m'étaler 360 ans sur le mérite de l'approvisionnement direct, mais disons que plus le temps passe et moins j'achète de légumes ailleurs, et surtout pas dans les grandes surfaces. Certes, le choix est limité par la saisonnalité, la météo...
Le beurre et l’argent du beurre
Hier, je faisais le plein de choux de Bruxelles chez ma maraichère préférée quand la discussion est tombée, assez inévitablement, sur le beurre. Je ne vais pas m'étaler 360 ans sur le mérite de l'approvisionnement direct, mais disons que plus le temps passe et moins j'achète de légumes ailleurs, et surtout pas dans les grandes surfaces. Certes, le choix est limité par la saisonnalité, la météo...
Le beurre et l’argent du beurre
Hier, je faisais le plein de choux de Bruxelles chez ma maraichère préférée quand la discussion est tombée, assez inévitablement, sur le beurre. Je ne vais pas m'étaler 360 ans sur le mérite de l'approvisionnement direct, mais disons que plus le temps passe et moins j'achète de légumes ailleurs, et surtout pas dans les grandes surfaces. Certes, le choix est limité par la saisonnalité, la météo...
Le beurre et l’argent du beurre
Hier, je faisais le plein de choux de Bruxelles chez ma maraichère préférée quand la discussion est tombée, assez inévitablement, sur le beurre. Je ne vais pas m'étaler 360 ans sur le mérite de l'approvisionnement direct, mais disons que plus le temps passe et moins j'achète de légumes ailleurs, et surtout pas dans les grandes surfaces. Certes, le choix est limité par la saisonnalité, la météo...

Dématérialisation exponentielle
Il y a six mois, j’avais serré la main du conducteur offset qui partait enfin à la retraite. Aujourd’hui, la moitié des machines a disparu, les étagères à papier sont vides, il reste le patron, l’infographiste et la typographe.

Ça sent le sapin!
Tout vient à point à qui sait attendre, mais depuis plus d’un mois que je rongeais mon frein, j’ai bien cru ne jamais voir le bout de ma première grande aventure éditoriale.

Les enfants de l’esprit
On ne naît pas femme, on le devient
, écrivait Simone de Beauvoir dans Le Deuxième sexe. En fait, l’étude de l’éthologie et la longue observation des personnes que j’ai la chance de côtoyer m’ont enseigné qu’on ne naît finalement pas grand chose, ce qui ouvre un vaste champ de possibles, de la même manière qu’on ne naît jamais seul au monde, mais avant tout dans le regard des autres.

Du côté de chez Paul
L’épopée de Marie, petite mère courage, nous ramène une fois de plus — et sûrement pas la dernière — dans le bled-en-chef pour une énième péripétie administrative. L’épisode deux de la course d’obstacles régulièrement imposée aux précaires pour leurs miettes de droits sortira en exclu-lulu dans le numéro 43 du Fakir national, à s’arracher dans tous les bons kiosques dès samedi 28 novembre.

L’attrape-rêve
La plupart du temps, ça m’arrive en voiture. Même quand j’étais gosse et que j’étais reléguée à l’arrière, là où les roulis de la route projetaient mon cœur au bord des lèvres, il me suffisait de laisser mon regard se perdre sur le paysage qui défilait derrière les vitres pour décoller dans un autre monde.

Le syndrome du poisson rouge
Qui contrôle le passé contrôle l’avenir
. Aldous Huxley.
Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre
. Winston Churchill
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