C'est un peu comme si le froid avait figé le temps. Alors, on bricole un peu en attendant la suite. J'aurais voulu commencer en écrivant que l'odeur de brulé m'a arraché du sommeil, mais en fait, rien du tout, c'est comme si avoir le flair d'un chien de chasse ne me servait rigoureusement à rien. En fait, j'étais en train de déguster un grand cru avec Sayaka qui vient de s'installer à Bordeaux…...
Chronique des jours courts
C'est un peu comme si le froid avait figé le temps. Alors, on bricole un peu en attendant la suite. J'aurais voulu commencer en écrivant que l'odeur de brulé m'a arraché du sommeil, mais en fait, rien du tout, c'est comme si avoir le flair d'un chien de chasse ne me...
Chronique des jours courts
C'est un peu comme si le froid avait figé le temps. Alors, on bricole un peu en attendant la suite. J'aurais voulu commencer en écrivant que l'odeur de brulé m'a arraché du sommeil, mais en fait, rien du tout, c'est comme si avoir le flair d'un chien de chasse ne me servait rigoureusement à rien. En fait, j'étais en train de déguster un grand cru avec Sayaka qui vient de s'installer à Bordeaux…...
Chronique des jours courts
C'est un peu comme si le froid avait figé le temps. Alors, on bricole un peu en attendant la suite. J'aurais voulu commencer en écrivant que l'odeur de brulé m'a arraché du sommeil, mais en fait, rien du tout, c'est comme si avoir le flair d'un chien de chasse ne me servait rigoureusement à rien. En fait, j'étais en train de déguster un grand cru avec Sayaka qui vient de s'installer à Bordeaux…...
Chronique des jours courts
C'est un peu comme si le froid avait figé le temps. Alors, on bricole un peu en attendant la suite. J'aurais voulu commencer en écrivant que l'odeur de brulé m'a arraché du sommeil, mais en fait, rien du tout, c'est comme si avoir le flair d'un chien de chasse ne me servait rigoureusement à rien. En fait, j'étais en train de déguster un grand cru avec Sayaka qui vient de s'installer à Bordeaux…...
Chronique des jours courts
C'est un peu comme si le froid avait figé le temps. Alors, on bricole un peu en attendant la suite. J'aurais voulu commencer en écrivant que l'odeur de brulé m'a arraché du sommeil, mais en fait, rien du tout, c'est comme si avoir le flair d'un chien de chasse ne me servait rigoureusement à rien. En fait, j'étais en train de déguster un grand cru avec Sayaka qui vient de s'installer à Bordeaux…...
Négation de l’homme
Au commencement, il y avait monsieur Antar et sa combinaison rouge flamboyante.
Message in a bottle…
Quand j’étais gosse, comme beaucoup de gosses, d’ailleurs, j’aimais les lancés de ballons rouges avec des cartes postales attachées dessous. J’aimais l’idée d’envoyer un message à un autre gamin du bout du monde, à tisser un lien fragile entre les peuples, même si, en vérité, mes mots ont surtout dû ensemencer le champ du voisin.
Équilibre précaire
Éric Mainville, de Crise dans les médias, vient de lancer un nouveau blog collectif, dédié à la précarité dans le travail.
Régurgitations
Faut que je pense à débrancher Google Reader et à migrer sur Mars, là, vraiment…
Les nouveaux décroissants
D’un côté il y a le futur Grenelle de l’environnement qui, juré, craché, va sérieusement se pencher sur les questions des OGM, du climat et tout ça.
De l’autre, il y la bataille de chiffre autour du pouvoir d’achat des Français et de la courbe de la croissance qui bande mou.
Et au milieu, il y a nous, les pauvres cloches à qui l’on promet tout dans un monde de joyeux Bisounours.
Lectures du bout du monde
Pendant que tout le petit gotha autoproclamé de l’édition parisienne fait ses gorges chaudes du pensum obligatoire de la rentrée (qu’importe si c’est médiocre, ce qui compte, c’est d’en parler au moins autant que les autres!), de petits éditeurs cherchent à sortir des sentiers battus et (les fous!) à découvrir de nouvelles plumes, de nouveaux talents, à nous entraîner vers de nouveaux rivages littéraires.
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