Les cadres se font enfler par l’illusion d’être du côté des dominants. Ils collaborent activement à l’exploitation des employés parce qu’ils s’imaginent ne pas être des prolétaires eux-mêmes. Et les patrons se frottent les mains et entretiennent soigneusement cette confusion : elle leur permet d’avoir des relais serviles et zélés pour mieux presser le travailleur tout en en faisant porter la...
Les pigeons qui se prenaient pour des aigles
Les cadres se font enfler par l’illusion d’être du côté des dominants. Ils collaborent activement à l’exploitation des employés parce qu’ils s’imaginent ne pas être des prolétaires eux-mêmes. Et les patrons se frottent les mains et entretiennent soigneusement cette...
Les pigeons qui se prenaient pour des aigles
Les cadres se font enfler par l’illusion d’être du côté des dominants. Ils collaborent activement à l’exploitation des employés parce qu’ils s’imaginent ne pas être des prolétaires eux-mêmes. Et les patrons se frottent les mains et entretiennent soigneusement cette confusion : elle leur permet d’avoir des relais serviles et zélés pour mieux presser le travailleur tout en en faisant porter la...
Les pigeons qui se prenaient pour des aigles
Les cadres se font enfler par l’illusion d’être du côté des dominants. Ils collaborent activement à l’exploitation des employés parce qu’ils s’imaginent ne pas être des prolétaires eux-mêmes. Et les patrons se frottent les mains et entretiennent soigneusement cette confusion : elle leur permet d’avoir des relais serviles et zélés pour mieux presser le travailleur tout en en faisant porter la...
Les pigeons qui se prenaient pour des aigles
Les cadres se font enfler par l’illusion d’être du côté des dominants. Ils collaborent activement à l’exploitation des employés parce qu’ils s’imaginent ne pas être des prolétaires eux-mêmes. Et les patrons se frottent les mains et entretiennent soigneusement cette confusion : elle leur permet d’avoir des relais serviles et zélés pour mieux presser le travailleur tout en en faisant porter la...
Les pigeons qui se prenaient pour des aigles
Les cadres se font enfler par l’illusion d’être du côté des dominants. Ils collaborent activement à l’exploitation des employés parce qu’ils s’imaginent ne pas être des prolétaires eux-mêmes. Et les patrons se frottent les mains et entretiennent soigneusement cette confusion : elle leur permet d’avoir des relais serviles et zélés pour mieux presser le travailleur tout en en faisant porter la...
L’imposture humanitaire
Au début, je voulais surtout voyager
Jérémy a la petite vingtaine tranquille et joyeusement ébouriffée des membres de la grande tribu des surfeurs, des glisseurs, des grimpeurs, l’œil aussi limpide qu’un lac pyrénéen à la fonte des glaces et un projet de vie qui se construit pas à pas.
L’imaginaire révolutionnaire
Ce qu’il a de remarquable à retenir de l’année 2009, c’est qu’elle n’a eu précisément rien de remarquable et qu’il n’y pas grand-chose à en retenir.
Nono SarkoDay
Une fois n’est pas de coutume, je sors de mon isolationnisme congénital pour cosigner une déclaration commune issue de l’étrange blogobulle politique. Il s’agit d’une réponse collective à l’invitation au mouvement politique du No Sarkozy Day. Et pour une fois que je ne suis pas juste d’accord avec ma pantoufle gauche…
Esprits de fêtes
Voilà le familylecte jeté sur les routes, au gré des hasards, un certain 25 décembre comme tant d’autres.
Popote
Parfois, prendre le temps, hors du temps, juste quelques instants fugaces volés au flux du temps qui passe.
La phrase de l’année!
La phrase de l'année! Mise en ligne par Le Monolecte Si le climat était une banque, ils l'auraient déjà sauvé ! Hugo Chavez, conférence climat de l'ONU à Conpenhague, 16 décembre 2009 no comment
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