Elles apparaissent un peu brutalement au détour d'un virage, sur la route des vacances. Elles sont toujours quelque peu incongrues dans le paysage, comme deux mugs de café fumant que deux géants auraient oublié lors d'un piquenique au bord de la rivière. Des fois, je me demande ce qu'en penserait un archéologue du futur, à 2 ou 300 000 ans d'ici, quand même le souvenir de notre civilisation aura...

Les marchands de nuages
Elles apparaissent un peu brutalement au détour d'un virage, sur la route des vacances. Elles sont toujours quelque peu incongrues dans le paysage, comme deux mugs de café fumant que deux géants auraient oublié lors d'un piquenique au bord de la rivière. Des fois, je...
Les marchands de nuages
Elles apparaissent un peu brutalement au détour d'un virage, sur la route des vacances. Elles sont toujours quelque peu incongrues dans le paysage, comme deux mugs de café fumant que deux géants auraient oublié lors d'un piquenique au bord de la rivière. Des fois, je me demande ce qu'en penserait un archéologue du futur, à 2 ou 300 000 ans d'ici, quand même le souvenir de notre civilisation aura...
Les marchands de nuages
Elles apparaissent un peu brutalement au détour d'un virage, sur la route des vacances. Elles sont toujours quelque peu incongrues dans le paysage, comme deux mugs de café fumant que deux géants auraient oublié lors d'un piquenique au bord de la rivière. Des fois, je me demande ce qu'en penserait un archéologue du futur, à 2 ou 300 000 ans d'ici, quand même le souvenir de notre civilisation aura...
Les marchands de nuages
Elles apparaissent un peu brutalement au détour d'un virage, sur la route des vacances. Elles sont toujours quelque peu incongrues dans le paysage, comme deux mugs de café fumant que deux géants auraient oublié lors d'un piquenique au bord de la rivière. Des fois, je me demande ce qu'en penserait un archéologue du futur, à 2 ou 300 000 ans d'ici, quand même le souvenir de notre civilisation aura...
Les marchands de nuages
Elles apparaissent un peu brutalement au détour d'un virage, sur la route des vacances. Elles sont toujours quelque peu incongrues dans le paysage, comme deux mugs de café fumant que deux géants auraient oublié lors d'un piquenique au bord de la rivière. Des fois, je me demande ce qu'en penserait un archéologue du futur, à 2 ou 300 000 ans d'ici, quand même le souvenir de notre civilisation aura...
Il a neigé à Katmandou
Petites chroniques du temps qui passe… ou qui trépasse?!?
Petite mise au point autour de l’affaire des « caricatures »
Je ne voulais pas en parler mais, devant le raz-de-marée des postures bien-pensantes, je sors de mon silence juste le temps de préciser 2 ou 3 choses.
J’avais déjà pas mal dit de choses à ce sujet il y a un an. Mais les fausses évidences marquent plus les esprits, surtout quand elles sont du registre des préjugés, des bas instincts et non des réflexions construites, élaborées dans un perpétuel questionnement du monde.

Le dimanche, on fait rien comme des gros manches
Déjà que le débat reste musclé ici autour de l’histoire de l’ouverture des commerces le dimanche, ce même billet sur AgoraVox a déclenché des réactions… que je ne saurais trop qualifier, de peur de me faire lyncher à coup de figues molles et brûlée vive devant la foule en furie.
Le sujet avait l’air plutôt superficiel, le ton était volontairement incisif avec plein de petites gouttelettes putrides de provocation, mais au final, j’ai dû passer à côté de mon objectif premier : ouvrir le deuxième niveau de lecture de la problématique de l’ouverture des commerces le dimanche, à savoir la banalisation tout au long de la semaine.
Parce qu’il faut prendre parti
Il est bon de dénoncer, de s’insurger, de râler, de pointer du doigt, d’ouvrir le débat, de changer les points de vue, de tordre le coup aux évidences et aux a priori, de secouer le cocotier, de jouer du tamtam dans la volière, de foutre un gros bordel ou même de cracher en l’air histoire de voir si cela fera des ronds dans l’eau en retombant, mais il arrive toujours le temps de l’engagement.
Le médecin et l’indigent
Il était une fois le pays de la Sécurité Sociale où 4,8 millions de gens étaient reconnus comme ayant de grandes difficultés à se soigner.
Au sujet de l’ouverture des commerces le dimanche
Certes, je bosse le dimanche. Mais c’est moi qui le décide, parce que j’organise mon travail comme je l’entends.
Donc, je bosse le dimanche, ce qui fait que j’ai peu de temps pour écrire au sujet du travail le dimanche.
Heureusement, je prend toujours le temps de papoter avec mes potes actuchômistes sur les forums et voici ma modeste contribution à ce qui devrait être un grand débat de société : la place relative du travail dans notre organisation sociale (je ferai mieux un peu plus tard, promis!).
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