On nous avait dit qu'il valait mieux réserver nos places sur Internet pour ne pas se retrouver refoulés sur place, qu'il y avait toujours du monde, mais que ça valait le coup quand même. Nous nous sommes tout de même pointés au Gouffre de Padirac comme les gros touristes que nous sommes sur le coup de 11 h. Bien sûr, il y avait déjà foule et on s'est collé à la première file d'attente venue, en...
Life on Mars
On nous avait dit qu'il valait mieux réserver nos places sur Internet pour ne pas se retrouver refoulés sur place, qu'il y avait toujours du monde, mais que ça valait le coup quand même. Nous nous sommes tout de même pointés au Gouffre de Padirac comme les gros...
Life on Mars
On nous avait dit qu'il valait mieux réserver nos places sur Internet pour ne pas se retrouver refoulés sur place, qu'il y avait toujours du monde, mais que ça valait le coup quand même. Nous nous sommes tout de même pointés au Gouffre de Padirac comme les gros touristes que nous sommes sur le coup de 11 h. Bien sûr, il y avait déjà foule et on s'est collé à la première file d'attente venue, en...
Life on Mars
On nous avait dit qu'il valait mieux réserver nos places sur Internet pour ne pas se retrouver refoulés sur place, qu'il y avait toujours du monde, mais que ça valait le coup quand même. Nous nous sommes tout de même pointés au Gouffre de Padirac comme les gros touristes que nous sommes sur le coup de 11 h. Bien sûr, il y avait déjà foule et on s'est collé à la première file d'attente venue, en...
Life on Mars
On nous avait dit qu'il valait mieux réserver nos places sur Internet pour ne pas se retrouver refoulés sur place, qu'il y avait toujours du monde, mais que ça valait le coup quand même. Nous nous sommes tout de même pointés au Gouffre de Padirac comme les gros touristes que nous sommes sur le coup de 11 h. Bien sûr, il y avait déjà foule et on s'est collé à la première file d'attente venue, en...
Life on Mars
On nous avait dit qu'il valait mieux réserver nos places sur Internet pour ne pas se retrouver refoulés sur place, qu'il y avait toujours du monde, mais que ça valait le coup quand même. Nous nous sommes tout de même pointés au Gouffre de Padirac comme les gros touristes que nous sommes sur le coup de 11 h. Bien sûr, il y avait déjà foule et on s'est collé à la première file d'attente venue, en...
Ta gueule!
Et oui, les saisons du Web se suivent et se ressemblent, ou pourquoi il vaut mieux éviter d’avoir des vélléités d’écriture quand on est salarié de quelqu’un!
Il a neigé à Katmandou
Petites chroniques du temps qui passe… ou qui trépasse?!?
Petite mise au point autour de l’affaire des « caricatures »
Je ne voulais pas en parler mais, devant le raz-de-marée des postures bien-pensantes, je sors de mon silence juste le temps de préciser 2 ou 3 choses.
J’avais déjà pas mal dit de choses à ce sujet il y a un an. Mais les fausses évidences marquent plus les esprits, surtout quand elles sont du registre des préjugés, des bas instincts et non des réflexions construites, élaborées dans un perpétuel questionnement du monde.
Le dimanche, on fait rien comme des gros manches
Déjà que le débat reste musclé ici autour de l’histoire de l’ouverture des commerces le dimanche, ce même billet sur AgoraVox a déclenché des réactions… que je ne saurais trop qualifier, de peur de me faire lyncher à coup de figues molles et brûlée vive devant la foule en furie.
Le sujet avait l’air plutôt superficiel, le ton était volontairement incisif avec plein de petites gouttelettes putrides de provocation, mais au final, j’ai dû passer à côté de mon objectif premier : ouvrir le deuxième niveau de lecture de la problématique de l’ouverture des commerces le dimanche, à savoir la banalisation tout au long de la semaine.
Parce qu’il faut prendre parti
Il est bon de dénoncer, de s’insurger, de râler, de pointer du doigt, d’ouvrir le débat, de changer les points de vue, de tordre le coup aux évidences et aux a priori, de secouer le cocotier, de jouer du tamtam dans la volière, de foutre un gros bordel ou même de cracher en l’air histoire de voir si cela fera des ronds dans l’eau en retombant, mais il arrive toujours le temps de l’engagement.
Le médecin et l’indigent
Il était une fois le pays de la Sécurité Sociale où 4,8 millions de gens étaient reconnus comme ayant de grandes difficultés à se soigner.
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