Je rappelle toujours que le prix de la journée en détention, c’est 80 € et que dans les hôpitaux ou ailleurs, c’est dans les 6 ou 800 €. Donc, quand les caisses sont vides, on fait pas de sentiments, on fait de l’utile (…) Je pense que c’est une façon de se débarrasser à bon prix de ce qui est parfaitement improductif et coûteux : la misère est improductive et coûteuse.
Christiane de Beaurepaire, psychiatre, ancienne chef de service psychiatrique de la maison d’arrêt de Fresnes
Laissez-nous vivre encore un peu, par Le Monolecte
Ce n’est pas la rue qui gouverne. L’affaire est entendue depuis 2002 et son grand bond en arrière. Mais que cela ne nous empêche en rien d’ouvrir encore bien grand nos gueules de prolétaires.
En temps normal, je ne perds pas mon temps sur ce genre de papier dont le principal intérêt est de faire mousser son auteur avec l’exubérance d’un blaireau plongé dans un océan de savon à barbe.
La guerre des classes ne connaît pas de répits : du prétoire au boudoir, selon que tu sois riche ou pauvre, ta condition féminine sera sublime ou dérisoire.
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