16 h 50. Quatre fois par semaine, quelle que soit l’activité en cours, il me faut tout laisser tomber immédiatement pour aller chercher la gosse à l’arrêt de bus.
L’autre jour, sur Facebook, le réseau social où l’on a que des amis, quelqu’un faisait remarquer qu’en France, les troquets étaient plus ou moins désertés.
Bien sûr, il y a désaffection et désaffection. Il y a toujours des bistrots emblématiques plantés sur les voies de migration des touristes qui ne désemplissent pas, mais globalement, avec un petit kawa facilement à 2 € (13 balles, quand même !), il y a bien des estaminets qui dépérissent dans notre beau pays, aussi animés qu’un bureau de l’UMP un soir de régionales.
Je pensais rester chez moi, comme d’habitude, pour faire des choses intéressantes, mais l’occasion était trop belle de se raffermir le jarret tout en m’exprimant… à ma façon.
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