L’autre jour, sur Facebook, le réseau social où l’on a que des amis, quelqu’un faisait remarquer qu’en France, les troquets étaient plus ou moins désertés.
Bien sûr, il y a désaffection et désaffection. Il y a toujours des bistrots emblématiques plantés sur les voies de migration des touristes qui ne désemplissent pas, mais globalement, avec un petit kawa facilement à 2 € (13 balles, quand même !), il y a bien des estaminets qui dépérissent dans notre beau pays, aussi animés qu’un bureau de l’UMP un soir de régionales.
Cachez ce sein…
Dans les journaux, dans les hôpitaux, dans les alcôves, à la télé, sur les plages, dans la rue, à la radio, dans le lit, dans l’espace public comme dans la plus stricte intimité, l’OPA sur le corps des femmes ne cesse jamais ! Et c’est encore pire quand le féminisme médiatiquement correct s’en mêle !
La stratégie de la muleta
Chacun a pu remarquer que la palette des opinions (pourtant bien tranchées) a été largement accueillie ici suite à mon papier sur la loi antiburqa. Cela dit, il en est de la burqa comme de la muleta : agitez le bout de chiffon, cela excitera l’animal à coup sûr, l’empêchant de penser, alors que le matador s’apprête à lui asséner le coup de grâce.
Sa burqa dans notre gueule
Quelle drôle d’époque, tout de même, où sous prétexte d’aider les victimes
, on commence systématiquement par les punir!
L’imposture humanitaire
Au début, je voulais surtout voyager
Jérémy a la petite vingtaine tranquille et joyeusement ébouriffée des membres de la grande tribu des surfeurs, des glisseurs, des grimpeurs, l’œil aussi limpide qu’un lac pyrénéen à la fonte des glaces et un projet de vie qui se construit pas à pas.
L’imaginaire révolutionnaire
Ce qu’il a de remarquable à retenir de l’année 2009, c’est qu’elle n’a eu précisément rien de remarquable et qu’il n’y pas grand-chose à en retenir.
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