Le prolétaire britannique est bête. Si, si! Comme son homologue gaulois, il croit que quand on lui pose une question, c'est pour avoir son avis. Alors que l'on s'en tamponne de son avis. Ce que l'on attend de lui, c'est une certaine réponse. Et il suffit qu'il réponde mal pour que ce soit la panique dans les tours d'ivoire où l'on n'aime pas trop être contrarié par cette populace boudeuse et...
Bye bye Britain
Le prolétaire britannique est bête. Si, si! Comme son homologue gaulois, il croit que quand on lui pose une question, c'est pour avoir son avis. Alors que l'on s'en tamponne de son avis. Ce que l'on attend de lui, c'est une certaine réponse. Et il suffit qu'il réponde...
Bye bye Britain
Le prolétaire britannique est bête. Si, si! Comme son homologue gaulois, il croit que quand on lui pose une question, c'est pour avoir son avis. Alors que l'on s'en tamponne de son avis. Ce que l'on attend de lui, c'est une certaine réponse. Et il suffit qu'il réponde mal pour que ce soit la panique dans les tours d'ivoire où l'on n'aime pas trop être contrarié par cette populace boudeuse et...
Bye bye Britain
Le prolétaire britannique est bête. Si, si! Comme son homologue gaulois, il croit que quand on lui pose une question, c'est pour avoir son avis. Alors que l'on s'en tamponne de son avis. Ce que l'on attend de lui, c'est une certaine réponse. Et il suffit qu'il réponde mal pour que ce soit la panique dans les tours d'ivoire où l'on n'aime pas trop être contrarié par cette populace boudeuse et...
Bye bye Britain
Le prolétaire britannique est bête. Si, si! Comme son homologue gaulois, il croit que quand on lui pose une question, c'est pour avoir son avis. Alors que l'on s'en tamponne de son avis. Ce que l'on attend de lui, c'est une certaine réponse. Et il suffit qu'il réponde mal pour que ce soit la panique dans les tours d'ivoire où l'on n'aime pas trop être contrarié par cette populace boudeuse et...
Bye bye Britain
Le prolétaire britannique est bête. Si, si! Comme son homologue gaulois, il croit que quand on lui pose une question, c'est pour avoir son avis. Alors que l'on s'en tamponne de son avis. Ce que l'on attend de lui, c'est une certaine réponse. Et il suffit qu'il réponde mal pour que ce soit la panique dans les tours d'ivoire où l'on n'aime pas trop être contrarié par cette populace boudeuse et...
Parce qu’il faut prendre parti
Il est bon de dénoncer, de s’insurger, de râler, de pointer du doigt, d’ouvrir le débat, de changer les points de vue, de tordre le coup aux évidences et aux a priori, de secouer le cocotier, de jouer du tamtam dans la volière, de foutre un gros bordel ou même de cracher en l’air histoire de voir si cela fera des ronds dans l’eau en retombant, mais il arrive toujours le temps de l’engagement.
Le médecin et l’indigent
Il était une fois le pays de la Sécurité Sociale où 4,8 millions de gens étaient reconnus comme ayant de grandes difficultés à se soigner.
Au sujet de l’ouverture des commerces le dimanche
Certes, je bosse le dimanche. Mais c’est moi qui le décide, parce que j’organise mon travail comme je l’entends.
Donc, je bosse le dimanche, ce qui fait que j’ai peu de temps pour écrire au sujet du travail le dimanche.
Heureusement, je prend toujours le temps de papoter avec mes potes actuchômistes sur les forums et voici ma modeste contribution à ce qui devrait être un grand débat de société : la place relative du travail dans notre organisation sociale (je ferai mieux un peu plus tard, promis!).
La stratégie de la hache de pierre
Alors que nous avons consacré 4% du PIB en aides diverses et variées aux entreprises en 2005, les MEDEFiens renforcent encore leur chouinage sur l’air de toujours plus… toujours plus de fric pour eux, toujours plus de pression pour nous.
En toile de fond de tous ces coups de tamtam dans la volière, toujours et encore le même objectif : le démentèlement pur et simple du Droit du Travail, cet empêcheur d’exploiter et de profiter en rond.
Finalement, rien de bien nouveau, puisque nous restons strictement dans la même ligne de revendications, comme en témoigne ce Petit précis de sylviculture politique comparée, écrit pour Altermonde, un certain 14 juillet 2004.
Au bout du chemin
Comme j’ai pas mal de boulot dans les tuyaux, je manque de temps pour écrire ici. Du coup, je réchauffe des vieux articles, toujours miraculés sur Altermonde.
A l’heure où l’on nous sert le combat des chefs en lieu et place d’un vrai débat politique que devrait servir de toile de fond à un vrai projet de société, petit retour sur ce modèle de société que l’on nous impose depuis près de 25 ans, gauche et droite confondues.
Concentré d’humanité
Chapeau bas pour le film de Chantal Briet, Alimentation générale, un petit bijou qui réconcilie pour un bon moment avec le monde des humains.
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