Il existe trois grands traumatismes dans la vie d’un être humain : la naissance, la mort et le déménagement. Pour ce qui est de la naissance, j’ai déjà donné. Quant à la mort, je la laisse à ces heures sup’ actuelles, même si nous en avons fidèlement pris notre part ces derniers temps. Reste donc l’indicible harassement de devoir compacter toute une vie en petits cartons bien alignés, dument...
Les démés
Il existe trois grands traumatismes dans la vie d’un être humain : la naissance, la mort et le déménagement. Pour ce qui est de la naissance, j’ai déjà donné. Quant à la mort, je la laisse à ces heures sup’ actuelles, même si nous en avons fidèlement pris notre part...
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Il existe trois grands traumatismes dans la vie d’un être humain : la naissance, la mort et le déménagement. Pour ce qui est de la naissance, j’ai déjà donné. Quant à la mort, je la laisse à ces heures sup’ actuelles, même si nous en avons fidèlement pris notre part ces derniers temps. Reste donc l’indicible harassement de devoir compacter toute une vie en petits cartons bien alignés, dument...
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Il existe trois grands traumatismes dans la vie d’un être humain : la naissance, la mort et le déménagement. Pour ce qui est de la naissance, j’ai déjà donné. Quant à la mort, je la laisse à ces heures sup’ actuelles, même si nous en avons fidèlement pris notre part ces derniers temps. Reste donc l’indicible harassement de devoir compacter toute une vie en petits cartons bien alignés, dument...
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Il existe trois grands traumatismes dans la vie d’un être humain : la naissance, la mort et le déménagement. Pour ce qui est de la naissance, j’ai déjà donné. Quant à la mort, je la laisse à ces heures sup’ actuelles, même si nous en avons fidèlement pris notre part ces derniers temps. Reste donc l’indicible harassement de devoir compacter toute une vie en petits cartons bien alignés, dument...
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Il existe trois grands traumatismes dans la vie d’un être humain : la naissance, la mort et le déménagement. Pour ce qui est de la naissance, j’ai déjà donné. Quant à la mort, je la laisse à ces heures sup’ actuelles, même si nous en avons fidèlement pris notre part ces derniers temps. Reste donc l’indicible harassement de devoir compacter toute une vie en petits cartons bien alignés, dument...
Le bocal à mouches
Depuis quelques jours, en superposition d’un monde qui m’écœure profondément, je revois avec une acuité terrible le bocal à mouches de Maman Barrières. Maman Barrières est le vestige d’une époque révolue, celle où le travail avait encore faim de main d’œuvre et...
Toxicité du genre
J’affectionne particulièrement les hasards de la vie, les télescopages improbables ou les rencontres impromptues. J’aime les moments où se tissent des liens inattendus et où la logique jaillit de plusieurs éléments destinés pourtant à n’avoir jamais rien à faire...
La caverne de papier
Je suis profondément fascinée par l’incommensurable vacuité de La Casa de papel, la série présentée par beaucoup comme une performance palpitante et une petite révolution du genre. Mais j’ai cru comprendre aussi que l’objet fictionnel est clivant et qu’une masse non...
Maudits gazons
Je ne crois pas qu’il existe quelque chose de plus stupide qu’une tondeuse à gazon. En dehors d’une piscine individuelle. Ou d’une voiture (encore que…). Le genre d’engin qui coute un bras à l’achat, qui ne sert à rien 99 % du temps, qui ne t’apporte aucun plaisir à...
Personnes immorales
Nous savons toujours quand nous vivons un moment qui concentre tous les autres en une fulgurance douloureuse. Je suis là, debout, raide comme la justice, à l’autre bout de la France que je viens de traverser comme un zombi et juste devant moi, il y a ces amis qui...
Les grandes générosités
Mon grand-père faisait partie de ces gens qui aiment à déclarer à tout bout de champ que plus ils fréquentent les gens et plus ils aiment leur chien. En fait, mon grand-père n’aimait pas grand monde en dehors de moi. J’aurais pourtant dû me méfier. Mais quand on est...
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