Ou comment une abstentionniste convaincue, voire forcenée, en vient à faire de la retape pour inciter à se rendre en masse dans des bureaux de vote sauvages. Et comme d’hab’, moins ils veulent qu’on y aille, plus il est important d’y aller.

Ou comment une abstentionniste convaincue, voire forcenée, en vient à faire de la retape pour inciter à se rendre en masse dans des bureaux de vote sauvages. Et comme d’hab’, moins ils veulent qu’on y aille, plus il est important d’y aller.
Ou l’Europe vue du trou du cul du monde.
Internet m’a tuer
: c’est devenu la grosse tarte à la crème de ces dernières années. Le réseau mondial se retrouve systématiquement sur le banc des accusés de la plupart des maux de notre société. Tout secteur menacé de déclin ou d’obsolescence dégaine automatiquement le bazooka anti-Internet pendant que notre gouvernement mouline des lois comme un tas de shadocks hallucinés sous ecsta pour tenter de circonscrire le monstre numérique.
Peut-on seulement envisager l’idée de démocratie sans la libre expression des idées, projets et opinions diverses et variées de la population ? Si le débat démocratique s’alimente de la diversité des points de vue, peut-il s’accommoder de quelconques limitations, quelle que soit la légitimité que l’on peut leur accorder ?
Le vrai sens de la pensée politique n’est pas tant de jouer le combat des chefs entre petits égos démesurés qui écrasent le personnel politique que de penser le monde, la société et la manière dont nous vivons ou aimerions vivre ensemble dedans. Autrement dit, un vrai papier politique n’est pas l’inventaire des avantages comparés des têtes de gondoles des partis en lice à la course aux urnes du moment, mais plus une exploration du champ social ou du vivre-ensemble.
La démocratie est le moins pire de tous les systèmes… mais il s’agit là d’un point de vue essentiellement majoritaire.
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