Il marche, il marche sans y penser. À peine est-il conscient de la légère caresse du printemps naissant sur son visage, à peine sent-il un soleil timide lui chauffer doucement les épaules à travers le coton noir de sa chemise. Il marche bien qu'il n'aime pas ça, cette sensation terrible que sa lenteur le livre aux regards des autres. Car il est terrible le regard de l'autre, de cet inconnu qui...
Croisée
Il marche, il marche sans y penser. À peine est-il conscient de la légère caresse du printemps naissant sur son visage, à peine sent-il un soleil timide lui chauffer doucement les épaules à travers le coton noir de sa chemise. Il marche bien qu'il n'aime pas ça, cette...
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Il marche, il marche sans y penser. À peine est-il conscient de la légère caresse du printemps naissant sur son visage, à peine sent-il un soleil timide lui chauffer doucement les épaules à travers le coton noir de sa chemise. Il marche bien qu'il n'aime pas ça, cette sensation terrible que sa lenteur le livre aux regards des autres. Car il est terrible le regard de l'autre, de cet inconnu qui...
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Il marche, il marche sans y penser. À peine est-il conscient de la légère caresse du printemps naissant sur son visage, à peine sent-il un soleil timide lui chauffer doucement les épaules à travers le coton noir de sa chemise. Il marche bien qu'il n'aime pas ça, cette sensation terrible que sa lenteur le livre aux regards des autres. Car il est terrible le regard de l'autre, de cet inconnu qui...
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Il marche, il marche sans y penser. À peine est-il conscient de la légère caresse du printemps naissant sur son visage, à peine sent-il un soleil timide lui chauffer doucement les épaules à travers le coton noir de sa chemise. Il marche bien qu'il n'aime pas ça, cette sensation terrible que sa lenteur le livre aux regards des autres. Car il est terrible le regard de l'autre, de cet inconnu qui...
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Il marche, il marche sans y penser. À peine est-il conscient de la légère caresse du printemps naissant sur son visage, à peine sent-il un soleil timide lui chauffer doucement les épaules à travers le coton noir de sa chemise. Il marche bien qu'il n'aime pas ça, cette sensation terrible que sa lenteur le livre aux regards des autres. Car il est terrible le regard de l'autre, de cet inconnu qui...
Fille-fleur
46 ans, et plein de poils aux dents
La fleur au fusil
Parce qu’il n’y a presque plus de poilus encore en vie, cette année encore, on risque de nous rejouer le couplet sur l’utilité d’une commémoration qui n’a plus de témoins.
Tolérance
Qu’il est bon, parfois, de se délecter de quelques grammes de finesse dans un monde de brutes.
Le bûcher des vanités
Après m’être prise pour une écrivailleuse, j’ai maintenant des velléités de starification.
Ceci dit, c’est de la faute à Swâmi!
En attendant Noël
Comme le dit si bien Monsieur Le Chieur, un bloguer qui n’a pas un bouquin à vendre est un loser.
Déshabiller Job pour habiller Crésus
Ce doit être l’approche des élections qui les rend hystériques, mais nos gouvernants mettent la gomme sur leur programme anti-social comme si leur vie en dépendait.
Bas les masques et à fond dans l’ignominie anti-pauvres.
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