Le talent de Séguéla, c’est de ramasser un univers entier dans une petite phrase qui marque les faibles d’esprit. C’est d’ailleurs grâce à ce sens abrupt de la formule qui tue que Séguéla s’est sans doute payé sa Rolex à lui tout seul, comme un bon winner au pays du mépris des autres.
Parce qu’il n’y a pas que la politique, la crise, les nazes, les mauvaises nouvelles, un monde qui marche à l’envers et le plus grand braquage de tous les temps qui n’en finit pas de tous nous ruiner, je me suis laissé entraîner par de drôles de fréquentations bloguesques dans une petite aventure d’écriture collective.
Pour se changer les idées, le début de mon cadavreski, rien que pour vous. Et si ça vous a plu, vous pouvez vous goinfrer tout le bouquin.
Les éditions Filaplomb remettent la nouvelle au goût du jour, vous savez, ces petits textes courts, concis, ces petits diamants de littérature que l’on pouvait débusquer dans les revues littéraires.
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