Il est toujours aussi difficile de trouver un bon titre qui parvient à raconter toute une histoire en trois mots maximum. J’avais aussi pensé à Sex and the TV ou La parité n’est pas pour demain.
Tout ça pour en venir à la fausse affaire Marie Drücker qui, pour le coup, soulève une vraie question.
Parce qu’il n’y a presque plus de poilus encore en vie, cette année encore, on risque de nous rejouer le couplet sur l’utilité d’une commémoration qui n’a plus de témoins.
Journée de la femme… Et pourquoi pas une semaine, une année, une éternité des femmes, de toutes les femmes, et pas juste des archétypes pour morale bien-pensante?
Il existe des films dont même la distribution éclatante ne peut faire oublier l’austérité du sujet et que, du coup, nous allons voir à reculons.
Dommage pour nous!
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