Parce qu’il n’y a pas que la politique, la crise, les nazes, les mauvaises nouvelles, un monde qui marche à l’envers et le plus grand braquage de tous les temps qui n’en finit pas de tous nous ruiner, je me suis laissé entraîner par de drôles de fréquentations bloguesques dans une petite aventure d’écriture collective.
Pour se changer les idées, le début de mon cadavreski, rien que pour vous. Et si ça vous a plu, vous pouvez vous goinfrer tout le bouquin.
Qu’il existe une journée de la femme est désespérant en soit, mais au moins, le 8 mars est l’occasion de faire le triste bilan de ce qui ne change décidément pas : la difficile place de la femme dans le monde.
Où l’on se rend compte qu’un vieux film qui a presque mon âge et qui raconte la Grande Dépression finit forcément par devenir une œuvre d’anticipation.
On peut toujours envisager de laisser le champ libre aux économistes libéraux élevés en batterie. Ou alors, on relève le gant du défi, on monte sa propre théorie des salaires et on leur rafle pour une fois le pactole du Nobel sous le nez.
Surtout qu’on en a forcément plus besoin qu’eux!
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