Sacré poissard!
Je ne parle pas de Terry Gilliam, bien qu’il semble qu’il se traîne une scoumoune plus grande que les deux tours du WTC réunies, mais bien de Jacques Attali qui a planché sur un rapport sur la libération de la croissance
pendant des semaines et qui se retrouve à le publier pile-poil au moment où le château de cartes de la spéculation mondiale commence à s’effondrer avec la précision mécanique d’une exhibition de dominos.
Tout va bien!
Juste pour traduire mon état d’esprit en ce début d’année, sans me noyer dans les mots…
Les maîtres du monde
Décembre 2006 : assemblée générale au bled du gros semencier de la région. Avec ma tête de brave fille et mon air pas dangereux pour un rond, c’est la deuxième année que je décroche un strapontin à la réunion de la crème du dessus du panier des paysans de notre beau pays.
Transports : retour à la normale
Message in a bottle…
Quand j’étais gosse, comme beaucoup de gosses, d’ailleurs, j’aimais les lancés de ballons rouges avec des cartes postales attachées dessous. J’aimais l’idée d’envoyer un message à un autre gamin du bout du monde, à tisser un lien fragile entre les peuples, même si, en vérité, mes mots ont surtout dû ensemencer le champ du voisin.
Les nouveaux décroissants
D’un côté il y a le futur Grenelle de l’environnement qui, juré, craché, va sérieusement se pencher sur les questions des OGM, du climat et tout ça.
De l’autre, il y la bataille de chiffre autour du pouvoir d’achat des Français et de la courbe de la croissance qui bande mou.
Et au milieu, il y a nous, les pauvres cloches à qui l’on promet tout dans un monde de joyeux Bisounours.

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