Travail, famille travail, patrie identité nationale… Au boulot, les faignasses! De gré ou de force… mais surtout de force, quand les demi-salaires au rabais ne permettent même plus de survivre dignement.
Pour distraire les travailleurs pauvres (et accessoirement enfler leurs rangs), on casse du chômeur, le bon vieux sport national!
La concurrence à coût zéro
Diety, mon actuchômiste allemanique préféré revient sur les propositions des deux candidats en lice pour la présidentielle au sujet de la contrepartie obligatoire d’activité que devrait donner tout heureux bénéficiaire des minima sociaux. Pour bien comprendre ce que c’est, il suffit comme d’habitude d’aller zyeuter outre-Rhin ce que le social-libéralisme a concocté pour ces grosses feignasses de chômeurs qui ont l’outrecuidance de penser que la survie pourrait être un droit.
Tout ce qui suit est donc l’œuvre exclusive de Diety, merci à lui!
Petit pot de terre
Ce devait être en juin 1997. Nous venions de quitter précipitamment Paris après nous être rendus compte que bosser nous appauvrissait chaque mois d’avantage et qu’encore 3 ou 4 mois de boulot mal payé suffiraient pour finir de bouffer nos petites économies et nous retrouver en faillite personnelle.
La stratégie de la hache de pierre
Alors que nous avons consacré 4% du PIB en aides diverses et variées aux entreprises en 2005, les MEDEFiens renforcent encore leur chouinage sur l’air de toujours plus… toujours plus de fric pour eux, toujours plus de pression pour nous.
En toile de fond de tous ces coups de tamtam dans la volière, toujours et encore le même objectif : le démentèlement pur et simple du Droit du Travail, cet empêcheur d’exploiter et de profiter en rond.
Finalement, rien de bien nouveau, puisque nous restons strictement dans la même ligne de revendications, comme en témoigne ce Petit précis de sylviculture politique comparée, écrit pour Altermonde, un certain 14 juillet 2004.
Inculpation de Peter Hartz – Allemagne
Voici une information des plus intéressantes, en provenance directe de Diety, l’Actuchômiste actif qui a permi à des tas de gens de découvrir la réalité du traitement du chômage en Allemagne.
Bafouilles en cascade
Ce matin, Éric Mainville raconte l’histoire d’une lettre qu’il a reçu de l’Élysée. En le lisant, je n’ai pas pu m’empêcher de repenser à une autre histoire de missives, un des hauts faits de ma deuxième période de chômage, l’une des plus noires de ma vie.
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