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27 septembre 2006

Ce matin, Éric Mainville raconte l’histoire d’une lettre qu’il a reçu de l’Élysée. En le lisant, je n’ai pas pu m’empêcher de repenser à une autre histoire de missives, un des hauts faits de ma deuxième période de chômage, l’une des plus noires de ma vie.

C’était en 98 et j’étais donc dans une période plutôt sombre où je cherchais du taff sans rien trouver. J’avais dû retourner vivre chez ma grand-mère dans un trou paumé au fin fond de la cambrousse, sans bagnole ni rien, et j’avais un demi-RMI pour vivoter (en gros, payer le garde-meuble de mes maigres possessions et ma connexion internet).
Voilà que les emplois jeunes sont annoncés avec fanfare et trompettes, mais comme d’hab’, impossible d’avoir les détails, que ce soit en appelant l’ANPE ou la DDTEFP. Or, je me dis que c’est peut-être une issue de secours pour moi. Il me faut donc en savoir plus.
Je cherche sur le net et je finis par tomber sur le site du premier ministre[1] qui invite à poser ses questions directement au maître de séant.

J’envoie donc un mail demandant les modalités d’application des emplois jeunes et la manière de les utiliser quand on a de 26 à 30 ans, ce qui était mon cas.
Puis rien.

Une semaine plus tard, arrive une lettre à entête de Matignon, genre qui se la pète bien[2] avec une bafouille du directeur du cabinet : nous avons bien reçu votre demande, blablabla, nous nous roulons de bonheur d’avoir eu de vos nouvelles, on transmet à qui de droit…

15 jours plus tard, arrive une lettre à entête de la préfecture de mon département, légèrement plus pète-sec : le cabinet du premier ministre nous a transmis votre requête (merci pour le travail supplémentaire, crevure!), on transmet à qui de droit.

3 semaines plus tard, je reçois une convoc’ ANPE bien typique : vous avez 10 minutes pour parcourir les 60 km qui vous séparent de notre agence, faute de quoi nous nous ferons une joie de vous radier, sale feignasse qui ferait mieux de chercher du taff au lieu de se la péter avec le haut de pyramide, même qu’ensuite, c’est sur notre gueule que ça retombe!.

J’ai eu le droit à un sale entretien de flics, et bien sûr, personne de foutu de répondre à ma question de départ.
Ce qui m’a sauvé les miches de ce bien mauvais pas, l’ANPE m’ayant à l’oeil pour le coup, c’est d’avoir trouvé un boulot par le plus grand des hasards[3] dans le mois qui a suivi l’épilogue de cette triste histoire, boulot que j’ai manqué ne pas avoir, car au moment où mon stylo de crevarde effleurait le bas de la page de mon mirifique contrat pour un CDD de 2 mois, le comptable débarqua en trombe en gueulant : non, faut pas qu’elle signe, elle n’est pas éligible à un contrat emploi jeune!!!!

Notes

[1] Jospin, donc, à l’époque, vous savez le gars de l’île de Ré aux cheveux blancs qui est sorti par la grande porte et qui tente de se réincruster par la fenêtre!

[2] quand tu es au RMI, même un grouillot de la CAF, ça impressionne!

[3] comme chaque fois, d’ailleurs : qu’on m’explique comment on fait pour trouver un boulot de manière préméditée

22 Commentaires

  1. "Dites nous de quoi vous avez besoin, on vous expliquera comment vous en passer" – Coluche.

    Il avait vu juste, une fois de plus le Michel Colucci !

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  2. A la même époque, je me souviens d’un gars de l’ANPE qui, quand je lui avais déposé ma demande d’AFR (Allocation Formation Reclassement, autrement dit une demande pour continuer à toucher mes ASSEDIC tout en faisant une formation diplomante lourde, un DESS en informatique) m’avait rétorqué "si c’était moi, vu que vous avez déjà un DESS, je vous l’accorderais pas !". J’aimerais pouvoir dire que je lui ai cloué le bec en disant "ben ça tombe bien, parceque t’as pas ton mot à dire !", mais je suis sortie de l’ANPE en pleurant. Bien entendu, je ne veux pas dire par là que tous ceux qui bossent à l’ANPE sont comme ça, loin s’en faut ! Ce type était une exception. N’empèche, je ne suis pas la seule à être sortie en pleurs de cette ANPE.
    Note pour ceux qui penseraient que j’exagère, à faire 2 DESS : mon premier DESS, d’excellente qualité, ne m’a pas permis de me faire embaucher de manière stable, mon deuxième DESS, objectivement de moindre qualité, m’a permis d’avoir 4 offres d’emplois stables avant même la fin de ma formation ! L’informatique, à l’époque, ça rassurait les patrons. La forme, plus que le fond.

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  3. Sympa cette mention de mon modeste blog!

    La lettre adressée à Chirac avait pour but de faire sourire mes lecteurs.

    Mais l’idée m’en est tout de même venue à partir d’une réflexion faite par des journalistes, lors d’une émission de radio (RTL). Ils remarquaient qu’il est presque impossible à un journaliste de poser une question au chef de l’Etat. C’est un cas rare dans les "grandes démocraties"… Le président ne peut pas être atteint, interrogé directement. On peut lui envoyer un mail et une personne de son cabinet répond…

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  4. bah, l’anpe n’est plus qu’un gigantesque cabinet conseil en culpabilisation sociale , de style CFDTiste, une machine trés catho à faire intégrer à ces salauds de feignants que ce qui leur arrive c’est le prix de leurs péchés … bon d’accord, l’habillage est plus moderne, avec toutes les saloperies que les techniques de manipulation mentale permettent , mais ce n’est QUE ça … Et que certains prennent leur pied à jouer les kapos, c’est pas nouveau … juste qu’il est devenu inacceptable socialement de casser la gueule d’un kapo … Certains matins , j’ai envie de gerber …

    Réponse
  5. Kaa > mon premier DESS, d’excellente qualité, ne m’a pas permis de me faire embaucher de manière stable, mon deuxième DESS, objectivement de moindre qualité, m’a permis d’avoir 4 offres d’emplois stables avant même la fin de ma formation ! L’informatique, à l’époque, ça rassurait les patrons. La forme, plus que le fond.

    C’est un problème de fond/forme, ou c’est plutôt que ton premier DESS était dans un secteur bouché, d’où boulots instables? Si c’est le cas, c’est tout simplement la bonne vieille loi de l’offre et de la demande. Les ingénieurs ont statistiquement plus de chance de trouver un boulot stable que, au hasard, les artistes ou les diplômés en lettres modernes.

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  6. Je me sens toute bête d’avoir bien rigolé en lisant ton histoire…C’est tellement…vrai!

    Dans la série des remarques sympa des agents ANPE : alors que l’un d’eux venaient de m’expliquer que le patron qui m’embaucherait aller avoir droit à plein de super avantages car j’étais chômeuse de longue durée+ – de 26 ans, je lui ai fait part de mes doutes. Je lui ai dis que j’avais parfois l’impression que seule la prise en charge intégrale des salaires contriburait à une embauche (période noire de chômage…). Il me répond spontanément "vous feriez sûrement pareil à leur place!". Je lui ai dit que je ne le pensais pas…il a paru surpris…

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  7. La preuve que ces flemmards de chômeurs n’ont pas envie de bosser, c’est qu’en plus ils exigent d’être payés ! S’ils voulaient vraiment du travail, ils auraient des prétentions plus réalistes, non ?

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  8. @ Mavie
    "vous feriez sûrement pareil à leur place!".
    Air connu: c’est la justification qui tue. Car évidemment, on est tous pareils, n’est-ce pas? C’est du même niveau que "Si c’est pas moi qui te b..se le premier, c’est toi qui me b..se".
    C’est encourageant!

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  9. @ragnvald
    Oui…et probablement le croit-il !
    …Sauf que même "soldée" (- de charges sociales, frais de formation intégralement payés si besoin…), pour l’emploi sur lequel je postulais, on a préféré …un homme…même plus cher que moi!
    Si j’avais été gratuite, peut-être….sait-on jamais…

    Réponse
  10. Un jour, je me suis fait virer de l’éducation nationale : on n’a pas renouvelé mon contrat d’enseignant.

    Et chaque année avant la rentrée, je reçois la lettre du ministre qui m’encourage pour l’année qui vient, ainsi que le journal de l’Educ’ Nat’.

    Ca fait toujours plaisir.

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  11. J’espère qu’au moins lorsque le comptable est rentré en vociférant, tu t’es empressée de signer avant qu’ils n’aient le temps de retirer le contrat de sous ta plume. 😉

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  12. C’est fou comme ces périodes de recherche d’emploi sont marquantes pour nous tous. Ce sont des moments de grands désarrois où, pour notre plus grand malheur, nous sommes confrontées à l’incompétence et au j’m’en foutisme des autres, alors même que notre survie en dépend.

    Je me rappelle qu’à l’ANPE, la nana du guichet ne trouvait pas de case adéquate à mon métier particulier et c’est limite si elle ne me disait pas "Ben tant pis mademoiselle, de toute façon, y’a pas de place pour vous !".

    Tu m’auras en tout cas bien fait rire, malgré la gravité de la situation ; )

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  13. @Fred > Ben non, mon premier DESS était au contraire très "professionalisant" et la demande forte, traduction technique. Le hic, c’est que les boîtes n’embauche pas de traducteurs qu’elles préfèrent payer moins que le SMIC horaire en indépendants ou en sous traitance de sous traitance via des boîtes de trad. Résultat des courses, une grosse entreprise française, dont je ne citerai pas le nom, me devait en tant qu’indépendante forcée la bagatelle de 40000 FF, qu’elle allait me payer 6 mois plus tard. J’avais moins de 25 ans, pas de droit ASSEDIC (pas assez cotisé), pas de RMI.
    Je vais te dire, j’aurais mieux fait de faire Histoire de l’art, au moins je me serais éclatée et je me sentirais moins con devant certaines toiles.

    Réponse
  14. Retour sur septembre

    Ce que je retiens du mois de septembre, côté blog ?   La poignée de main de Bayrou lors de la « République des blogs » ou le mail de Chirac ?  Non, vous rigolez ou quoi? Plus intéressant est mon entrée dans Le Monde citoye……

    Réponse
  15. Retour sur septembre

    Ce que je retiens du mois de septembre, côté blog ?   La poignée de main de Bayrou lors de la « République des blogs » ou le mail de Chirac ?  Non, vous rigolez ou quoi? Plus intéressant est mon entrée dans Le Monde citoye……

    Réponse
  16. @ les marques du plaisir

    je cite : <<bah, l’anpe n’est plus qu’un gigantesque cabinet conseil en culpabilisation sociale , de style CFDTiste, une machine trés catho à faire intégrer (…)>>

    Cette assertion, vexatoire pour les militants CFDT qui comme les autres ont le droit au respect, prend une dimension comique quand on connait un tant soit peu la représentation syndicale chez les agents ANPE, y compris chez les cadres…
    Vraiment très drôle…

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  17. Moi çà me rapelle un petite mésaventure. Etant chômeur depuis 2 ans et ayant le diplôme pour postuler à un travail à l’ANPE (j’ai même bac+5 pour conseiller à bac+3). J’ai une petite expérience de jobs alimentaires (2 ans bout à bout). J’ai envoyé mon dossier et refusé!! pas assez d’expériences professionnelles, soi disant il faut avoir bossé dans le recrutement pour travailler a l’ANPE (dixit ce que m’a dit l’employé au tel..). J’attends avec impatience le moment ou je vais pouvoir expliquer pourquoi l’ANPE ne m’embauche pas!

    Réponse
  18. Mon humble réponse à Stéphou :
    Moi aussi alternant CDD, intérim et périodes de chômage toujours plus longues que prévu, j’ai tenté de passer le concours d’entrée à l’ANPE fin 2005, cependant, dès le retrait du dossier de candidature, on m’avait spécifié qu’une expérience dans le recrutement était requise. C’était le cas pour moi, cela dit, avec plus de 1200 candidats pour une quinzaine de postes à pourvoir, la concurrence fut fort rude 🙁
    Je me souviens que le libellé du sujet de l’épreuve "tri d’une corbeille de courrier" (virtuellement sur une copie double, bien sûr) mettait les candidats tout de suite dans l’ambiance en commençant par la formule "vous rentrez de trois semaines d’arrêt-maladie, et votre corbeille de courrier est saturée… vous répartirez les documents joints selon la priorité que vous leur accordez… blablabla, etc." Cocasse, non ?

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  19. Bonsoir..
    Comment te dire… Je suis à peine remise de mon fou rire à la lecture de ton mail ! A la recherche d’un emploi… enfin, je veux dire au chomdu depuis 10 mois et 28 jours aujourd’hui bientôt 11 mois (happy birthday to… hum,bref…) je me suis enfin décidée à aller visiter quelques sites sur les personnes dans mon cas et vu le 9 millions que nous sommes en France je pensais bien trouver qques specimen sur la toile.
    Bref, j’ai, comme tout le monde, ici moultes anecdotes plus cocasses les unes que les autres sur mes déboires en tant que chomdeuse… Une parmie tant d’autres. Convoquée à 8h15 par un conseillé ANPE pour mon premier entretien, et donc regaillardie à l’idée de rencontrer qqun qui à mon sens allait m’aider à trouver un emploi (tu es bien naîve petit scarabée…) je partie de bonne heure (45 mn de route) pour ne pas être en retard… Et là quelle douloureuse epreuve de se prendre une porte de pleine face, vu que l’agence n’ouvrait qu’à …..9h15….Qund l’heure dite arriva, un peu en colère tout de même, St nazaire n’étant pas réputé pour son temps des plus cléments en plein mois de janvier….voici la phrase et je dis bien LA phrase, que je symboliserai de cultissime pour nos amis ANPE : "Ha oui ! je me suis trompé…!" phase souvent déclinée par un "ha oui ? ca je savais pas…! ou alors "ha ben non ! ce n’est absolument pas possible…"

    Bon courage et continuons le combat !!

    Réponse
  20. Une petite anecdote d’un moment de flou artistique dans ma vie puisque j’en étais arrivé à me dire que seule l’anpe pouvait m’aider…
    J’avais la chance d’avoir décroché un entretien à quelques 400 kms de mon domicile et je me suis donc rendu à mon agence locale attitrée afin d’y trouver une quelconque aide pour me transporter jusqu’à mon entretien. L’entreprise était située un peu dans la campagne et n’était pas vraiment gâtée en terme de transport ferroviaire, transport pourtant fétiche de nos amis conseillers. Ainsi la gare la plus proche me déposait à environ 30 kms de mon point de rdv, et encore en changeant 3 fois de train, ce qui faisait déjà deux fois de trop pour l’anpe car je crois me rappeler qu’ils ne prennaient en charge qu’une partie du trajet pour une raison qui m’échappe encore… Toujours est-il que je m’étais résigné à y aller en voiture (à mes frais donc, et c’était pas négociable !). Mon entretien était prévu de bonne heure le matin (heure que j’avais jugé préférable de ne pas essayer de déplacer au risque de voir un de mes rares entretiens décrochés me passer sous le nez) et qu’il fallait donc que je dorme sur place la veille. Ne préférant pas trop m’étendre sur ma recherche d’emploi auprès de ma famille qui habitait dans la région, il me fallait prendre une chambre dans un hôtel ou trouver une autre solution. Et là, feuilletant allègrement les dépliants mis à disposition dans mon agence à la recherche d’un "je ne sais quoi" qui pourrait me venir en aide, je tombe sur une ligne qui précise qu’il y a des possibilités d’hébergement chez des particuliers mais avec un certain nombre de conditions. Revigoré par cette excellente nouvelle, je m’avance donc vers la personne à l’accueil pour lui demander des informations complémentaires. Quand je lui pose la question sur les possibilités d’hébergement en question, la personne me répond sereinement qu’à sa connaissance, il n’y a rien de tel de proposé par l’anpe… Effectivement, c’est à sa connaissance et c’est bien là le problème ! A moitié dépité, je lui présente donc le document anpe que je venais de parcourir 3 minutes avant et c’est avec l’air de dire "tu m’emmerdes" qu’elle a cru bon de préciser "ah bah çà doit être nouveau !!!" avant de me dire "je vais en parler à mes collègues" et de se diriger vers le bureau situé au fond de l’agence. Là, elle rentre, deux femmes sont là à discuter en buvant leur café… visiblement on dérange mais la fille de l’accueil s’avance et demande en montrant le dépliant si elles avaient déjà entendu parler d’une possibilité d’hébergement chez des particuliers. A leurs têtes déconfites, j’ai vite compris que ce n’était pas le cas. La fille de l’accueil visiblement très détendue s’est retournée vers moi en me disant "vous voyez, personne ne connait" ! Et oui, çà fait peur ! "Je vais aller voir si le directeur de l’agence pourrait répondre à votre question". Voilà donc que je poirote 10 minutes devant le bureau du directeur avant que celui-ci ne me recoive et me dise "çà ne me dit rien, faites voir votre papier". Il renchérit "bon bah, on va regarder sur internet si on trouve un peu plus de choses". Il a fini par me sortir un n° de téléphone de derrière les fagots avant de me dire "appeler là" et "désolé, je peux rien faire de plus". Mais c’est pas grave, j’étais plus à çà prêt ! Je suis reparti déprimé de là-bas alors que j’y étais entré avec le minimum d’enthousiasme requis pour ne pas avoir envie de me tirer une balle en sortant. Une semaine plus tard, je m’en vais pour passer mon entretien, en voiture et hébergé chez un membre de ma famille malgré mes réticences. Au finaI, il y avait du monde sur le poste et je n’ai pas été retenu. Sur ce coup là, j’ai tout gagné ! Mais j’avais décidé de ne pas me laisser démoraliser et commençait donc à entrevoir la possibilité d’une formation complémentaire à mon BTS car je me trouvais un peu léger d’un point de vue purement technique (malgré mon BTS à priori technique mais c’est une autre histoire). J’ai donc pris rdv dans un grand organisme de formation professionnelle que je ne citerais pas avec une conseillère pour valider mon projet de formation. Une semaine s’écoule avant mon rdv et j’arrive serein, une fois de plus. A peine le temps d’exposer mon projet et ma vision des choses qu’elle me rétorqua "Mais Monsieur, il faudrait peut-être penser à travailler !!!" (j’avais juste 25 ans à l’époque)… L’espace d’un instant, je me suis vu me lever et lui mettre mon poing dans la gueule (désolé les filles !)… mais finalement, je suis resté stoïque, pour ne pas dire con. L’entretien s’est achevé sur un "je vous laisse quand même réfléchir" que j’ai tout juste pris la peine de relever…
    Pour finir sur une note positive, j’ai trouvé du boulot 5 mois plus tard… à 900 kms de chez moi !!! Mais je me suis démerdé tout seul !
    Bon courage à tous.

    Réponse

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