Comme certain le savent, le 15 février était un grand jour : je quittais définitivement le giron de mon opérateur de téléphonie mobile pour basculer chez Débitel, après près de 8 ans de bons et loyaux sévices!
La plupart du temps, j’ai foi en l’homme, je pense qu’il est possible de se mettre à ramer tous ensemble dans la bonne direction, pour aller vers quelque chose de meilleur, de plus grand, pour le plus grand nombre.
Et puis, il y a des périodes plus sombres où tout me dégoûte, où la mesquinerie l’emporte, où je ne supporte plus mes congénères, où j’ai juste envie de me retirer de tout en disant qu’en général, on n’hérite que de la merde que l’on mérite.
Une fois n’est pas de coutume, je publie ici l’intégralité d’un texte que j’ai écrit pour le Petit Journal du Gers.
Parce qu’il est important de voir que cette histoire de fermeture de classe n’est pas la chronique d’un village de campagne peuplé d’irréductibles Gascons ronchons et sanguins, mais bien l’illustration de la lutte contre les fossoyeurs de l’idée même de République, une et indivisible, creuset de liberté, d’égalité et de fraternité entre tous et envers les générations futures.
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