La plupart du temps, j’ai foi en l’homme, je pense qu’il est possible de se mettre à ramer tous ensemble dans la bonne direction, pour aller vers quelque chose de meilleur, de plus grand, pour le plus grand nombre.
Et puis, il y a des périodes plus sombres où tout me dégoûte, où la mesquinerie l’emporte, où je ne supporte plus mes congénères, où j’ai juste envie de me retirer de tout en disant qu’en général, on n’hérite que de la merde que l’on mérite.