Tout corps plongé dans l’entreprise reçoit une poussée proportionnelle à la force d’exploitation. Gérard Filoche fait partie de ces gens fort nombreux qui ne sont jamais meilleurs que lorsqu’ils parlent de ce qu’ils connaissent. Et s’il y a un truc que Gérard connait...
Parfois, au cœur de la nuit, je me dis que tout cela n’est qu’une vaste fumisterie, que nous sommes tous morts, si nous avons jamais été vivants, et que c’est exactement ça l’enfer : un endroit de merde où tout marche sur la tête.
À moment donné, ils ont compris. Ils ont compris qu’il n’y avait rien à attendre des autres, des relais habituels. Ils ont compris qu’ils allaient devoir prendre leur destin en main.
C’est à cela que l’on me reconnaît : c’est que j’ose tout, y compris de me tromper ou de me contredire sans même faire mine de m’excuser ou de chercher la moindre cohérence dans tout ce foutoir qui n’arrive même pas à me servir de pensée!
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