Comme le jardinier doit arroser sa terre pour que les plantes s’y épanouissent, il faut nourrir régulièrement sa capacité de réflexion sous peine de la voir s’assécher.
Voici donc quelques morceaux choisis dans les parties nobles de mes lectures…
Vent mauvais
« Pour éviter les conflits avec les principaux groupes d’intérêt, les gouvernements peuvent, dans un premier temps, introduire des réformes à la marge du “noyau dur” du marché du travail, sans véritablement toucher aux structures institutionnelles dont bénéficient les travailleurs en place. Cela tend à renforcer la dualité du marché du travail, ce qui peut ensuite permettre de gagner progressivement le soutien de l’opinion publique à des réformes plus fondamentales des institutions et politiques du marché du travail. »
Citation de l’OCDE, dans Économistes en guerre contre les chômeurs, Le Monde Diplomatique, décembre 2006
La tentation du pire
Indignations, frustrations, colère et impuissance : un bien mauvais cocktail d’émotions nous étreint face à la grande récession sociale alimentée chaque jour un peu plus par les coups bas de nos dirigeants, à peu près partout dans le monde.
La fabrique de la pauvreté
Où il s’avère que nous avions mal compris le slogan de campagne du Princident : FAIRE travailler plus pour gagner plus
Et mon cul sur ton nez, ça te fera une paire de lunettes à rationalité économique?
Eh oui, les prolos sarkozystes devraient être un peu chafouins ces derniers temps et pourtant la grande entreprise d’équarissage en gros Sarko- Fillon n’en est qu’à son galop d’essai. Tu as fini ton pain blanc, tu commences déjà à regretter ton pain bis, voilà venue l’heure de la brioche!
La grande trahison du premier mai
Avez-vous entendu ce silence? Celui qui a étouffé le fracas dans lequel notre Code du Travail s’est fait démanteler le 1er mai dernier.
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