Petites chroniques du temps qui passe… ou qui trépasse?!?
Le dimanche, on fait rien comme des gros manches
Déjà que le débat reste musclé ici autour de l’histoire de l’ouverture des commerces le dimanche, ce même billet sur AgoraVox a déclenché des réactions… que je ne saurais trop qualifier, de peur de me faire lyncher à coup de figues molles et brûlée vive devant la foule en furie.
Le sujet avait l’air plutôt superficiel, le ton était volontairement incisif avec plein de petites gouttelettes putrides de provocation, mais au final, j’ai dû passer à côté de mon objectif premier : ouvrir le deuxième niveau de lecture de la problématique de l’ouverture des commerces le dimanche, à savoir la banalisation tout au long de la semaine.
Le médecin et l’indigent
Il était une fois le pays de la Sécurité Sociale où 4,8 millions de gens étaient reconnus comme ayant de grandes difficultés à se soigner.
La stratégie de la hache de pierre
Alors que nous avons consacré 4% du PIB en aides diverses et variées aux entreprises en 2005, les MEDEFiens renforcent encore leur chouinage sur l’air de toujours plus… toujours plus de fric pour eux, toujours plus de pression pour nous.
En toile de fond de tous ces coups de tamtam dans la volière, toujours et encore le même objectif : le démentèlement pur et simple du Droit du Travail, cet empêcheur d’exploiter et de profiter en rond.
Finalement, rien de bien nouveau, puisque nous restons strictement dans la même ligne de revendications, comme en témoigne ce Petit précis de sylviculture politique comparée, écrit pour Altermonde, un certain 14 juillet 2004.
Au bout du chemin
Comme j’ai pas mal de boulot dans les tuyaux, je manque de temps pour écrire ici. Du coup, je réchauffe des vieux articles, toujours miraculés sur Altermonde.
A l’heure où l’on nous sert le combat des chefs en lieu et place d’un vrai débat politique que devrait servir de toile de fond à un vrai projet de société, petit retour sur ce modèle de société que l’on nous impose depuis près de 25 ans, gauche et droite confondues.
Le salarié au sifflet
Poursuivons notre petite exploration des joyeusetés du salariat contemporain, avec, aujourd’hui, cette merveille du capitalisme contemporain qu’est le concept du salarié au sifflet.
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