Si vraiment, vraiment, vous ne pouvez réfréner vos pulsions votationnelles, s’il vous faut absolument choisir l’un plutôt que l’autre pour vous sentir heureux, alors, n’hésitez plus et…

A-quoi-bonnite aiguë
Samedi matin, Le Monolecte a manqué disparaître de la Toile. Pour de bon. J’avais le doigt sur la gâchette, mais je me suis laissé deux jours de réflexion sur la question de l’intérêt de laisser ce blog continuer à fonctionner.

Ça sent le sapin!
Tout vient à point à qui sait attendre, mais depuis plus d’un mois que je rongeais mon frein, j’ai bien cru ne jamais voir le bout de ma première grande aventure éditoriale.

Work in progress
Un petit passage en coup de vent pour vous donner des nouvelles du bouquin sur lequel je travaille en ce moment.

La machine à remonter dans le temps
C’est fait, je m’y colle : Le Monolecte va sortir sur support-papier, dans un (voire probablement plusieurs) vrai bouquin, avec une jolie couverture, des notes de bas de page et même une photo officielle de l’auteur en quatrième de couverture, enfin, si Éric se rappelle qu’il ne doit pas m’oublier.

Le Monolecte prend le stylo au vol
Parce qu’il n’y a pas que la politique, la crise, les nazes, les mauvaises nouvelles, un monde qui marche à l’envers et le plus grand braquage de tous les temps qui n’en finit pas de tous nous ruiner, je me suis laissé entraîner par de drôles de fréquentations bloguesques dans une petite aventure d’écriture collective.
Pour se changer les idées, le début de mon cadavreski, rien que pour vous. Et si ça vous a plu, vous pouvez vous goinfrer tout le bouquin.
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