Ainsi donc, voici le retour d’Alain, le pin déplumé des Landes, le fils prodigue de la Chiraquie moribonde, revenu tout sourire de son TIG hibernant chez nos cousins à l’accent charmant.
Que les tricotillomanes passent leur chemin : il ne s’agit pas d’une chronique capillaire, mais bien de l’épilogue de mes démêles avec le pingouin le canard pimpant Linux!
Comme l’explique si bien le site homonyme, les mots sont importants.
Ils le sont d’autant plus que la novlangue libérale a totalement phagocyté l’espace médiatique, et, à travers lui, a imprégné nos esprits, au point d’entraver nos aptitudes au débat et à la réflexion.
Quand j’étais gosse, acheter de la bouffe de marque, c’était forcément opter pour la qualité! Enfin, ma grand-mère en était convaincue. Ensuite, c’est devenu un acte de consumérisme imposé par l’habitude.
À l’ère de la communication triomphante, nous sommes au courant de tout mais nous ne nous comprenons plus entre nous.
L’entreprise est ainsi le siège, non seulement d’antagonismes d’intérêts grandissants, mais aussi d’une totale incommunicabilité.
Commentaires récents