Bien plus qu’un improbable agglomérat humain, la file d’attente est un objet sociologique à part entière et un désagrément de la vie quotidienne quasiment incontournable.
Il y a une sorte de jeu, entre bloggers, qui consiste à lancer une série de billets sur un thème et à inviter les autres à y aller de leur propre comptabilité. Torpedo avait ainsi repris une série sur les plaisirs honteux, mais voilà, je n’ai honte de rien…
Du coup, je lance la mienne, celle des petites contrariétés de la vie quotidienne, des petites choses sans conséquence qui agacent prodigieusement ou laissent interloqué.
J’ai déjà dit, et je me répéterai encore, que je suis devenue fan de l’émission Charivari de Frédéric Bonnaud sur France Inter.
Et par dessus tout, ce que je préfère, ce sont les quelques trop rares minutes qui sont accordées à mon chroniqueur préféré, l’inénarrable Philippe Collin.
Une semaine après le séisme électoral du 29 mai, il est temps de réfléchir aux conséquences réelles et profondes qu’ont eu la campagne référendaire et le vote qui l’a sanctionné ensuite.
Commentaires récents