Flics à roulettes…
Bleu de Lectoure…
Ce n’est pas parce que c’est le mois d’août qu’il faut bronzer idiot. Je profite donc d’un (bref?) rétablissement de ma ligne téléphonique pour poster une petite carte postale pour donner envie de voyager, ne serait-ce qu’avec sa tête.
Je ne veux pas mourir aux côtés d’un lecteur du Figaro
Dans un voyage, le trajet compte au moins tout autant que la destination.
Police de proximité
Il est 20h40, à la terrasse de l’Usine, métro Avron, quand Olympe se rend compte subitement que son sac à main n’est plus lové à ses pieds comme un vieux chien malade.
Je suis assez sûre de l’heure, parce que c’est exactement ce moment que ma fille a choisi pour me réclamer par téléphone mon bisou distant et maternel de bonne nuit, devoir incontournable que je m’efforce d’accomplir dans le brouhaha de la rue, sous un brumatiseur qui ne cesse d’embuer mes lunettes comme un lama colérique et tuberculeux.
Vecteurs de l’éphémère
L’aube prochaine n’a pas encore commencé à déteindre dans le ciel de Bordeaux que je suis déjà arrimée à ce poteau qui symbolise un arrêt de bus.
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