Je trouve fatiguant de me faire traiter de gauchiste
chaque fois que je pense qu’il est nécessaire de sortir du flux des événements et de réfléchir aux origines, aux causes ou que je dis qu’il est bon de chercher à comprendre au lieu d’agir et surtout de réagir.
Il y a des vieux pots dans lesquels on brasse toujours la même mauvaise soupe.
Parce que des fois, il ne reste que le poids des mots, le choc des images : La misère n'existe pas en France. Maintenant, on comprend mieux comment on en arrive à la situation actuelle! Merci à nos amis de Samizdat.net
La loi est comme une vieille fille : il convient de ne pas trop la bousculer. Aussi, les réactions à chaud, émotives, lors d’un fait divers sont toujours totalement inadaptées.
"Pour noyer ton chien, accuse-le de la rage!" ou comment chaque époque a son bouc-émissaire pour occulter l’incompétence des gouvernants.
Une semaine après les attentats de Londres, rien n’a changé. Comme rien n’a changé après Madrid ou New York. Du coup, j’en profite pour ressortir un texte que j’avais écrit pour l’Echo du Village, un 11 septembre parmi les autres.
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Crédit photo couverture : ©Beth Jusino
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