Alors qu’il y a encore quelques semaines, tous ceux qui, comme moi, critiquaient ouvertement et vertement le capitalisme débridé se faisaient traiter de réactionnaires allergiques au progrès et incapables de se conformer à la réalité, voilà que ces derniers jours, les très nombreux thuriféraires du marché triomphant expliquent à longueur de colonne à la une que les marchés ont soufferts d’un défaut de régulation et qu’ils ont toujours dit que l’immobilier, c’est comme les arbres, ça ne grimpe pas jusqu’au ciel.
Bande de faisans !
A free world
Parce que la vraie liberté n’est pas celle du renard dans le poulailler, mais bien celle d’une bonne grosse teuf de manchots… avant que la banquise ne vienne à manquer!
Heureusement, Irène est là!
Il y avait comme un vent de morosité qui soufflait sur mon âme…
Le fil qui chante
Et voilà, ça y est : j’ai retrouvé une connexion.
Éthologie du net
Cela fait plus de 10 ans que j’arpente les couloirs virtuels du net, 10 ans à tenir des sites, des forums, des journaux en ligne et même un blog, des tas de bidules qui n’ont pas attendu d’être estampillés web 2.0 trucmuches
pour être interactifs et à usage communautaire.
Car le net, c’est avant tout un espace virtuel où se peuvent se rencontrer les gens.
Message in a bottle…
Quand j’étais gosse, comme beaucoup de gosses, d’ailleurs, j’aimais les lancés de ballons rouges avec des cartes postales attachées dessous. J’aimais l’idée d’envoyer un message à un autre gamin du bout du monde, à tisser un lien fragile entre les peuples, même si, en vérité, mes mots ont surtout dû ensemencer le champ du voisin.
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