Qu’il existe une journée de la femme est désespérant en soit, mais au moins, le 8 mars est l’occasion de faire le triste bilan de ce qui ne change décidément pas : la difficile place de la femme dans le monde.
Sacré poissard!
Je ne parle pas de Terry Gilliam, bien qu’il semble qu’il se traîne une scoumoune plus grande que les deux tours du WTC réunies, mais bien de Jacques Attali qui a planché sur un rapport sur la libération de la croissance pendant des semaines et qui se retrouve à le publier pile-poil au moment où le château de cartes de la spéculation mondiale commence à s’effondrer avec la précision mécanique d’une exhibition de dominos.
Décembre 2006 : assemblée générale au bled du gros semencier de la région. Avec ma tête de brave fille et mon air pas dangereux pour un rond, c’est la deuxième année que je décroche un strapontin à la réunion de la crème du dessus du panier des paysans de notre beau pays.
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