Si tu t’écoutais deux minutes, tu passerais ta vie en Sarkoland ordinaire à éructer, vitupérer, gueuler, beugler, hurler ta colère et ton indignation permanentes. La constance de la saloperie ordinaire est telle que tu te pèterais une coronaire en moins de temps qu’il n’en faut pour remplir une cuvette de chiottes de toute la bile qu’un journal de Pernaut peut te faire remonter du gosier.
Le grand absent du scrutin : le bulletin de vote
Pendant que le petit landerneau politico-médiatique piaille autour des résultats de l’élection européenne de dimanche dernier, chacun cherchant à tirer la couverture à soi par une interprétation plus ou moins capillotractée des pourcentages microscopiques récoltés, la question, pourtant centrale, de la légitimité démocratique de ce scrutin est gentiment poussée du bout de l’escarpin sous le tapis élimé des vieilles habitudes qui ronronnent sans fin.
FreeWifi pour tous!
Il y a des jours, comme ça, où Internet me prend vraiment la gueule. Mais cela doit être de ma faute : quelle idée que d’aller habiter au cul des vaches, là où même La Poste et les pigeons voyageurs rechignent à passer!
Quand la merde monte…
Ils n’ont toujours pas honte, pas honte…
Ta Rolex dans ta gueule
Le talent de Séguéla, c’est de ramasser un univers entier dans une petite phrase qui marque les faibles d’esprit. C’est d’ailleurs grâce à ce sens abrupt de la formule qui tue que Séguéla s’est sans doute payé sa Rolex à lui tout seul, comme un bon winner au pays du mépris des autres.
Nos valeurs communes : égalité
Cher petit Papa Noël,
Je ne suis pas sûre que tu as ouvert un service après-vente, mais vu ce qui nous est arrivé, avec mon petit frère, ce serait une bonne idée.
Commentaires récents