Depuis quelques jours, il y a un concert de tamtam dans la volière et c’est la panique à bord. Il n’est plus possible d’avoir la moindre petite connexion médiatique (journaux, radio, TV, web) sans se retrouver littéralement submergé par un tsunami de hurlements échevelés : c’est la crise, c’est la crise, c’est la crise !
Ça a l’air de franchement chier dans le ventilo, vu comme cela…
En vérité, je vous le dis : celui qui croit en Ma Parole sera sauvé, mais le mécréant qui refuse de regarder en face la lumière de Ma vérité, celui-là, il va en chier des ronds de chapeaux.
Indignations, frustrations, colère et impuissance : un bien mauvais cocktail d’émotions nous étreint face à la grande récession sociale alimentée chaque jour un peu plus par les coups bas de nos dirigeants, à peu près partout dans le monde.
Et bien oui, toujours là, comme une vieille tique féroce qui aurait planté ses crochets dans le cul d’un chien galeux. Mais voilà, il faut bien vivre, et l’essentiel de mon effort de guerre se focalise aujourd’hui à travailler toujours plus (doit être l’heureux, l’autre jean-foutre !) pour juste faire face aux dépenses quotidiennes, comme le fuel, qui a pris 20 % depuis que nous sommes arrivés, il y a 6 mois, au seuil de l’hiver… qui n’en finit pas, en plus !
Ne jamais perdre de vue que la construction européenne actuelle se fait essentiellement sur ce socle, c’est à dire sur l’idée que la concurrence libre et non faussée est le modèle grâce auquel nous allons cavaler cheveux au vent vers un avenir radieux sur fond de soleil levant.
Alors que la course à l’échalote des municipales est sur le point d’être lancée à couilles rabattues, petit tour dans un des ces microbleds qui font le charme des paysages de France.
Commentaires récents