Le temps, ça ne se trouve pas, ça se prend.

Le temps, ça ne se trouve pas, ça se prend.
Battons la campagne tant que le fer dans la plaie est bien chaud.
Pendant que certains enfument la campagne électorale avec de petites saillies assassines qui n’ont d’autre objet que de faire parler pour ne rien dire, je vais me contenter de vous parler de la vraie vie, en l’occurrence de la mienne.
En 2010, on descendait dans la rue. En 2011, on nous y jette.
Et là, est-ce que tu commences à bien la sentir, la main invisible du marché ? Est-ce que tu la sens bien, son étreinte implacable qui t’a choppé par les balloches et qui te broie, continuellement, inexorablement, jusqu’à ce que tu mettes genou à terre, jusqu’à ce que tu ploies l’échine, jusqu’à ce que tu ne sois plus rien qu’un grand cri de douleur ?
J’aimerais bien avoir ton point de vue sur la primaire socialiste.
En fait non, je te le dis : tu n’as pas du tout envie d’avoir mon point de vue sur la primaire socialiste.
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