L’épopée de Marie, petite mère courage, nous ramène une fois de plus — et sûrement pas la dernière — dans le bled-en-chef pour une énième péripétie administrative. L’épisode deux de la course d’obstacles régulièrement imposée aux précaires pour leurs miettes de droits sortira en exclu-lulu dans le numéro 43 du Fakir national, à s’arracher dans tous les bons kiosques dès samedi 28 novembre.
Une fois par semaine, c’est l’heure parentale avec les autres éleveurs de nains montés sur batterie inusable qui s’adonnent aux joies des arts martiaux.
Ce devait être en juin 1997. Nous venions de quitter précipitamment Paris après nous être rendus compte que bosser nous appauvrissait chaque mois d’avantage et qu’encore 3 ou 4 mois de boulot mal payé suffiraient pour finir de bouffer nos petites économies et nous retrouver en faillite personnelle.
A l’occasion de la mobilisation du samedi 5 février 2005, je publie un des mes anciens textes, d’il y a deux ans, mais qui reste malheureusement toujours d’actualité.
En fin de billet, vous trouverez les liens vers le récit de mon samedi de manifestation, le texte précédent illustrant une partie des raisons qui m’ont poussée à y aller.
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