Les cadres se font enfler par l’illusion d’être du côté des dominants. Ils collaborent activement à l’exploitation des employés parce qu’ils s’imaginent ne pas être des prolétaires eux-mêmes. Et les patrons se frottent les mains et entretiennent soigneusement cette confusion : elle leur permet d’avoir des relais serviles et zélés pour mieux presser le travailleur tout en en faisant porter la...

Les pigeons qui se prenaient pour des aigles
Les cadres se font enfler par l’illusion d’être du côté des dominants. Ils collaborent activement à l’exploitation des employés parce qu’ils s’imaginent ne pas être des prolétaires eux-mêmes. Et les patrons se frottent les mains et entretiennent soigneusement cette...
Les pigeons qui se prenaient pour des aigles
Les cadres se font enfler par l’illusion d’être du côté des dominants. Ils collaborent activement à l’exploitation des employés parce qu’ils s’imaginent ne pas être des prolétaires eux-mêmes. Et les patrons se frottent les mains et entretiennent soigneusement cette confusion : elle leur permet d’avoir des relais serviles et zélés pour mieux presser le travailleur tout en en faisant porter la...
Les pigeons qui se prenaient pour des aigles
Les cadres se font enfler par l’illusion d’être du côté des dominants. Ils collaborent activement à l’exploitation des employés parce qu’ils s’imaginent ne pas être des prolétaires eux-mêmes. Et les patrons se frottent les mains et entretiennent soigneusement cette confusion : elle leur permet d’avoir des relais serviles et zélés pour mieux presser le travailleur tout en en faisant porter la...
Les pigeons qui se prenaient pour des aigles
Les cadres se font enfler par l’illusion d’être du côté des dominants. Ils collaborent activement à l’exploitation des employés parce qu’ils s’imaginent ne pas être des prolétaires eux-mêmes. Et les patrons se frottent les mains et entretiennent soigneusement cette confusion : elle leur permet d’avoir des relais serviles et zélés pour mieux presser le travailleur tout en en faisant porter la...
Les pigeons qui se prenaient pour des aigles
Les cadres se font enfler par l’illusion d’être du côté des dominants. Ils collaborent activement à l’exploitation des employés parce qu’ils s’imaginent ne pas être des prolétaires eux-mêmes. Et les patrons se frottent les mains et entretiennent soigneusement cette confusion : elle leur permet d’avoir des relais serviles et zélés pour mieux presser le travailleur tout en en faisant porter la...

Flics à roulettes…

Dribleur céleste…
Suite des petites cartes postales de l’été avant la reprise des hostilités sur le blog à partir de la mi-août.

Bleu de Lectoure…
Ce n’est pas parce que c’est le mois d’août qu’il faut bronzer idiot. Je profite donc d’un (bref?) rétablissement de ma ligne téléphonique pour poster une petite carte postale pour donner envie de voyager, ne serait-ce qu’avec sa tête.

Entropisme du danseur
La facture que j’ai posée sur le coin de mon bureau est toujours là, quinze jours plus tard. Elle n’a pas fini par retourner, de guerre lasse, dans la boîte aux lettres d’où elle n’aurait jamais dû sortir. Elle n’a pas bougé d’un poil. Elle a pris un peu de poussière et elle est lentement recouverte par les autres courriers en souffrance sur lesquels je finirai bien par me pencher, quand la pile à l’inclinaison grandissante menacera de s’écrouler sur mon clavier.

La guerre du poil aura bien lieu
J’avais parlé de cette épineuse question lors du comité de rédaction de Fakir, mais je crois bien que personne ne voyait trop où je voulais en venir. Puis, le poil dans la main qui me tient lieu de canne aidant, j’avais remisé le sujet sur une étagère poussiéreuse de mon cerveau tordu en me disant qu’il y avait forcément plus sérieux comme préoccupation pour couper les cheveux en quatre.
Jusqu’à ce midi.

L’Homme circonstanciel
L’habit fait probablement le moine tout comme l’occasion fait le larron.
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