Il y a 3649 jours exactement, j’ouvrais Le Monolecte. Je ne me souviens plus réellement de mon état d’esprit d’alors, parce que j’ai beau faire — et même me relire en passant — ces 10 années m’ont profondément changée. De toute manière, 10 ans, ça change tout le monde, c’est assez inévitable. Ce dont je me souviens encore, c’est d’une nécessité, celle de communiquer. Cela a commencé assez...
Décennie
Il y a 3649 jours exactement, j’ouvrais Le Monolecte. Je ne me souviens plus réellement de mon état d’esprit d’alors, parce que j’ai beau faire — et même me relire en passant — ces 10 années m’ont profondément changée. De toute manière, 10 ans, ça change tout le...
Décennie
Il y a 3649 jours exactement, j’ouvrais Le Monolecte. Je ne me souviens plus réellement de mon état d’esprit d’alors, parce que j’ai beau faire — et même me relire en passant — ces 10 années m’ont profondément changée. De toute manière, 10 ans, ça change tout le monde, c’est assez inévitable. Ce dont je me souviens encore, c’est d’une nécessité, celle de communiquer. Cela a commencé assez...
Décennie
Il y a 3649 jours exactement, j’ouvrais Le Monolecte. Je ne me souviens plus réellement de mon état d’esprit d’alors, parce que j’ai beau faire — et même me relire en passant — ces 10 années m’ont profondément changée. De toute manière, 10 ans, ça change tout le monde, c’est assez inévitable. Ce dont je me souviens encore, c’est d’une nécessité, celle de communiquer. Cela a commencé assez...
Décennie
Il y a 3649 jours exactement, j’ouvrais Le Monolecte. Je ne me souviens plus réellement de mon état d’esprit d’alors, parce que j’ai beau faire — et même me relire en passant — ces 10 années m’ont profondément changée. De toute manière, 10 ans, ça change tout le monde, c’est assez inévitable. Ce dont je me souviens encore, c’est d’une nécessité, celle de communiquer. Cela a commencé assez...
Décennie
Il y a 3649 jours exactement, j’ouvrais Le Monolecte. Je ne me souviens plus réellement de mon état d’esprit d’alors, parce que j’ai beau faire — et même me relire en passant — ces 10 années m’ont profondément changée. De toute manière, 10 ans, ça change tout le monde, c’est assez inévitable. Ce dont je me souviens encore, c’est d’une nécessité, celle de communiquer. Cela a commencé assez...
Un moral d’acier
C’est exactement ce qu’il fallait pour participer au concours d’attaché territorial jusqu’au bout. C’est ce qu’il faut aussi quand au retour, on s’aperçoit que nos sites ont été victimes d’un hacker : maintenant, qu’on a bétonné les failles de sécurité, on pense que Le Monolecte ne sera plus débranchable… non, mais!
Bête de concours
Internet est comme un aimant, mon blog comme un boulet (si, si!), je ne m'en éloigne jamais vraiment. Même quand je voyage, même quand je sors, je me demande ce que je pourrais bien en rapporter pour nourrir Le Monolecte et pour distraire les quelques égarés de la...
Le goût du travail
A l’occasion de la mobilisation du samedi 5 février 2005, je publie un des mes anciens textes, d’il y a deux ans, mais qui reste malheureusement toujours d’actualité.
En fin de billet, vous trouverez les liens vers le récit de mon samedi de manifestation, le texte précédent illustrant une partie des raisons qui m’ont poussée à y aller.
Les 35 heures en question
Il faut travailler pour vivre et non vivre pour travailler!
Il était une fois Internet
A l’occasion des deux mois d’existence du Monolecte, j’ai décidé de nous offrir un petit ravalement de façade très "nip/tuckien". Et de remonter à l’origine de tout…
Caca nerveux
Et hop! Christophe Hondelatte est passé à la trappe!
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