Déjà que le débat reste musclé ici autour de l’histoire de l’ouverture des commerces le dimanche, ce même billet sur AgoraVox a déclenché des réactions… que je ne saurais trop qualifier, de peur de me faire lyncher à coup de figues molles et brûlée vive devant la foule en furie.
Le sujet avait l’air plutôt superficiel, le ton était volontairement incisif avec plein de petites gouttelettes putrides de provocation, mais au final, j’ai dû passer à côté de mon objectif premier : ouvrir le deuxième niveau de lecture de la problématique de l’ouverture des commerces le dimanche, à savoir la banalisation tout au long de la semaine.
Le médecin et l’indigent
Il était une fois le pays de la Sécurité Sociale où 4,8 millions de gens étaient reconnus comme ayant de grandes difficultés à se soigner.
Au sujet de l’ouverture des commerces le dimanche
Certes, je bosse le dimanche. Mais c’est moi qui le décide, parce que j’organise mon travail comme je l’entends.
Donc, je bosse le dimanche, ce qui fait que j’ai peu de temps pour écrire au sujet du travail le dimanche.
Heureusement, je prend toujours le temps de papoter avec mes potes actuchômistes sur les forums et voici ma modeste contribution à ce qui devrait être un grand débat de société : la place relative du travail dans notre organisation sociale (je ferai mieux un peu plus tard, promis!).
A votre bon cœur!
Maintenant que les fêtes sont passées, les pauvres peuvent marner en paix.
Donc, petit tour aux Restos du Cœur du bled, pour prendre la température.
Dies horribilis
Déjà, c’était une journée que je prévoyais assez difficile, puisqu’il s’agissait de maîtriser seule une meute de gremlins enragés invités pour le premier goûter d’anniversaire de la naine.
Le grand fossé
Swâmi aime bien me lire, je lui rend le compliment. Son dernier billet m’a inspiré ce commentaire, que je vous livre ici.
Et en écho à ces petits papiers du jour, je vous renvoie à celui d’Olivier Bonnet, un journaliste qui redore le blason de sa profession!
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