Le militantisme souffre ces derniers temps. Surtout celui qui a vocation à défendre les plus faibles d’entre nous, à lutter contre la machine à écraser les crevards, à ne pas nous laisser nous pondre dans la tête. Les appels de détresse (financière et participative) se suivent et se ressemblent. Au bout d’un moment, on peut être tenté de détourner la tête, de se dire qu’on ne pourra pas sauver tout le monde. Pourtant, c’est moins le moment que jamais de lâcher la rampe.
Lecture estivale Mise en ligne par Le Monolecte Dans la vie, il y a deux sortes de gens, ceux qui lisent Le Point et les autres. Nous, on préfère faire partie des autres.
En vérité, je vous le dis : celui qui croit en Ma Parole sera sauvé, mais le mécréant qui refuse de regarder en face la lumière de Ma vérité, celui-là, il va en chier des ronds de chapeaux.
L’idée phare du RSA, dont on attend avec impatience les décrets d’application afin d’en saisir toutes les subtiles nuances, c’est qu’il faut donner un complément de salaire pour inciter les bénéficiaires de minima sociaux à retourner au turbin.
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