La course au fric pour payer le loyer (l’emprunt…) quelques mois de plus est en passe de devenir un sport international de haut niveau auquel je m’adonne comme tout le monde, au détriment de ce blog, entre autres. Mais il s’agit bien là de tout ce que je consens à sacrifier à la détérioration entropique de notre vieux monde.
Parce qu’il n’y a pas que la politique, la crise, les nazes, les mauvaises nouvelles, un monde qui marche à l’envers et le plus grand braquage de tous les temps qui n’en finit pas de tous nous ruiner, je me suis laissé entraîner par de drôles de fréquentations bloguesques dans une petite aventure d’écriture collective.
Pour se changer les idées, le début de mon cadavreski, rien que pour vous. Et si ça vous a plu, vous pouvez vous goinfrer tout le bouquin.
Cher petit Papa Noël,
Je ne suis pas sûre que tu as ouvert un service après-vente, mais vu ce qui nous est arrivé, avec mon petit frère, ce serait une bonne idée.
Quand la politique se targue de l’argument du bon sens pour nous faire avaler des couleuvres plus grosses que des anacondas, il convient de chausser ses gros sabots et d’aller jusqu’au bout de la démarche.
Et voici le tout nouvel oxymore du gouvernement qui navre des générations de citoyens et devrait laisser une belle trace de pneu dans les tréfonds de nos manuels d’histoire : l’insécurité positive !
Commentaires récents