Tout vient à point à qui sait attendre, mais depuis plus d’un mois que je rongeais mon frein, j’ai bien cru ne jamais voir le bout de ma première grande aventure éditoriale.
Internet m’a tuer : c’est devenu la grosse tarte à la crème de ces dernières années. Le réseau mondial se retrouve systématiquement sur le banc des accusés de la plupart des maux de notre société. Tout secteur menacé de déclin ou d’obsolescence dégaine automatiquement le bazooka anti-Internet pendant que notre gouvernement mouline des lois comme un tas de shadocks hallucinés sous ecsta pour tenter de circonscrire le monstre numérique.
Il y a des jours, comme ça, où Internet me prend vraiment la gueule. Mais cela doit être de ma faute : quelle idée que d’aller habiter au cul des vaches, là où même La Poste et les pigeons voyageurs rechignent à passer!
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