C’est l’été en Maurienne et je dois avoir 14 ans. Les journées sont longues, lumineuses, remplies de nos jeux et de nos cris. On est une bande de potes. On est les terreurs de la montagne.
Peut-être que le meilleur dans la vie, c’est l’impromptu, le moment que l’on n’attendait pas et qui change tout, ou rien, mais en fait, cela n’a aucune importance.
J’aimerais bien avoir ton point de vue sur la primaire socialiste.
En fait non, je te le dis : tu n’as pas du tout envie d’avoir mon point de vue sur la primaire socialiste.
Bon, voilà, c’est dit : je n’écris plus ! Ce n’est pas une déclaration, un coup de sang, un cri du cœur. Juste une constatation qui tombe comme le fil du couperet sur la nuque du condamné. D’ailleurs, les plus assidus et fidèles de mes lecteurs avaient bien dû remarquer comme une absence, à force de tout ce rien.
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