Samedi 24 janvier 2009, à 4h30, l’onde de choc de la tempête Klaus a frappé notre maison avec la célérité d’un TGV s’engouffrant dans une petite gare de province.
Alors qu’il y a encore quelques semaines, tous ceux qui, comme moi, critiquaient ouvertement et vertement le capitalisme débridé se faisaient traiter de réactionnaires allergiques au progrès et incapables de se conformer à la réalité, voilà que ces derniers jours, les très nombreux thuriféraires du marché triomphant expliquent à longueur de colonne à la une que les marchés ont soufferts d’un défaut de régulation et qu’ils ont toujours dit que l’immobilier, c’est comme les arbres, ça ne grimpe pas jusqu’au ciel.
Bande de faisans !
Lecture estivale Mise en ligne par Le Monolecte Dans la vie, il y a deux sortes de gens, ceux qui lisent Le Point et les autres. Nous, on préfère faire partie des autres.
Finalement, je vais participer à une chaîne. Je vais même faire mieux, je vais lancer la mienne, une belle chaîne libre, sans entraves, avec de belles pépites de joie dedans.
J’avais commencé un billet plein de trucs graves et sérieux sur la mort, la vieillesse et la dépendance, avant de me rendre compte que j’avais déjà bien écrit sur ce sujet il y a 6 mois.
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