moi je débarque t on fait n pik-nik de plusieurs jours, randonnées, on bouffe on rit.. et on réfléchit aux alternatives possibles et comment mette les pieds dans les gamelles… non ?
«Qu’on me comprenne bien, je parle de la poésie qui se fait, dans un lit, dans la rue, dans les lieux les plus sordides comme les plus privilégiés, et qui, accessoirement, s’écrit.»
LE BRUN Annie, Vagit-prop, Lâchez tout et autres textes, Ramsay/Jean-Jacques Pauvert, 1990 p.147.
Tu as raison, Agnès, vivre c’est le cœur de la vérité.
En pays Basque une association, se nomme "bizi", vivre en langue Basque, qui est combative sur l’écologie et le social. http://www.bizimugi.eu/
J’aimerai voir vivre une association de ce type en pays Gascon…
ben moi je bosse tout l’été, comme chaque été depuis cinq ans, sans horaires puisque je m’occupe de presser et ramasser la paille, tout en gardant un oeil sur les meuhmeuhs qui vèlent et en filant des coups de mains à déplacer la moiss-batt sur la route, ben j’en ai marre…c’est le bagne volontaire…
désolé de faire mon caliméro, c’était ma vision de l’été
moi je débarque t on fait n pik-nik de plusieurs jours, randonnées, on bouffe on rit.. et on réfléchit aux alternatives possibles et comment mette les pieds dans les gamelles… non ?
«je préfère vivre plutôt qu’écrire»
«Qu’on me comprenne bien, je parle de la poésie qui se fait, dans un lit, dans la rue, dans les lieux les plus sordides comme les plus privilégiés, et qui, accessoirement, s’écrit.»
LE BRUN Annie, Vagit-prop, Lâchez tout et autres textes, Ramsay/Jean-Jacques Pauvert, 1990 p.147.
Tu as raison, Agnès, vivre c’est le cœur de la vérité.
En pays Basque une association, se nomme "bizi", vivre en langue Basque, qui est combative sur l’écologie et le social.
http://www.bizimugi.eu/
J’aimerai voir vivre une association de ce type en pays Gascon…
@Luis
Do it !
🙂
Que c’est beau l’été ! A propos de chaumes, voir ce chantier participatif à la couverture chaume :
http://philippeluce.free.fr/accueil…
(merci pour votre lien vers Filefi)
ben moi je bosse tout l’été, comme chaque été depuis cinq ans, sans horaires puisque je m’occupe de presser et ramasser la paille, tout en gardant un oeil sur les meuhmeuhs qui vèlent et en filant des coups de mains à déplacer la moiss-batt sur la route, ben j’en ai marre…c’est le bagne volontaire…
désolé de faire mon caliméro, c’était ma vision de l’été
Ben tu vois, moi je suis là (et un peu las, aussi, mais c’est une autre histoire).
La campagne,non merci…Ca craint trop en ce moment,la preuve les vaches attaquent les touristes,c’est dire !
Ils sont ou les bipèdes de gauche sur ton blog…malgré la crise ils arrivent à se payer des congés,c’est pas beau ça ?
Moi non plus !!!!
Vivre et écrire ne sont pas forcément des notions opposées.
( Désolé d’intervenir comme ça dans ce blog à l’improviste ; bonne continuation ! )
Oui, c’est sympa et c’est par chez moi :-). Si tu suis le lien de la photo, tu en verras plein d’autres.
trop belle, cette photo, trop trop trop belle. Ca donne envie de se rouler dans le foin, avec le soleil pour témoin.