Poursuivons notre petite exploration des joyeusetés du salariat contemporain, avec, aujourd’hui, cette merveille du capitalisme contemporain qu’est le concept du salarié au sifflet.
Où l’on se rend compte qu’un vieux film qui a presque mon âge et qui raconte la Grande Dépression finit forcément par devenir une œuvre d’anticipation.
Déjà, c’était une journée que je prévoyais assez difficile, puisqu’il s’agissait de maîtriser seule une meute de gremlins enragés invités pour le premier goûter d’anniversaire de la naine.
On peut toujours envisager de laisser le champ libre aux économistes libéraux élevés en batterie. Ou alors, on relève le gant du défi, on monte sa propre théorie des salaires et on leur rafle pour une fois le pactole du Nobel sous le nez.
Surtout qu’on en a forcément plus besoin qu’eux!
Trente ans de chômage de masse, trente ans de sigles cabalistiques, trente ans de contrats précaires au rabais et une situation de l’emploi qui empire malgré tout.
Malgré tout… ou grâce à?
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