Alors qu’il y a encore quelques semaines, tous ceux qui, comme moi, critiquaient ouvertement et vertement le capitalisme débridé se faisaient traiter de réactionnaires allergiques au progrès et incapables de se conformer à la réalité, voilà que ces derniers jours, les très nombreux thuriféraires du marché triomphant expliquent à longueur de colonne à la une que les marchés ont soufferts d’un défaut de régulation et qu’ils ont toujours dit que l’immobilier, c’est comme les arbres, ça ne grimpe pas jusqu’au ciel.
Bande de faisans !
Indignations, frustrations, colère et impuissance : un bien mauvais cocktail d’émotions nous étreint face à la grande récession sociale alimentée chaque jour un peu plus par les coups bas de nos dirigeants, à peu près partout dans le monde.
Eh oui, les prolos sarkozystes devraient être un peu chafouins ces derniers temps et pourtant la grande entreprise d’équarissage en gros Sarko- Fillon n’en est qu’à son galop d’essai. Tu as fini ton pain blanc, tu commences déjà à regretter ton pain bis, voilà venue l’heure de la brioche!
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