Samedi soir, on remet le couvert pour la grande nuit des morts, pour la troisième année consécutive. Si Halloween a perdu pas mal de terrain en France ces dernières années malgré son implantation commerciale forcenée, il y a au moins un petit quartier rural qui résiste encore et toujours au reflux mortuaire… mais c’est à la sauce gasconne.
Une fois par semaine, c’est l’heure parentale avec les autres éleveurs de nains montés sur batterie inusable qui s’adonnent aux joies des arts martiaux.
C’est fait, je m’y colle : Le Monolecte va sortir sur support-papier, dans un (voire probablement plusieurs) vrai bouquin, avec une jolie couverture, des notes de bas de page et même une photo officielle de l’auteur en quatrième de couverture, enfin, si Éric se rappelle qu’il ne doit pas m’oublier.
Ça y est, j’ai des devoirs, j’ai des devoirs ! Ma grande petite bonne femme jaillit du bus de ramassage scolaire comme un petit diable tout en traînant son cartable à sa suite, trop grand et trop vide.
Ce n’est pas parce que c’est le mois d’août qu’il faut bronzer idiot. Je profite donc d’un (bref?) rétablissement de ma ligne téléphonique pour poster une petite carte postale pour donner envie de voyager, ne serait-ce qu’avec sa tête.
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