Il y a la presse-sandwich, qui glisse une fine couche d’infos vides qui brossent tout le monde dans le sens du poil entre deux grosses tranches de pub bien juteuses et puis il y a la presse-passion, avec plein de vrais bons gros morceaux d’informations qu’on ne trouve nulle part ailleurs et qu’une tribu de journalistes intègres et enragés est allée chercher sauvagement jusqu’au fin fond des latrines de la République.
La machine à remonter dans le temps
C’est fait, je m’y colle : Le Monolecte va sortir sur support-papier, dans un (voire probablement plusieurs) vrai bouquin, avec une jolie couverture, des notes de bas de page et même une photo officielle de l’auteur en quatrième de couverture, enfin, si Éric se rappelle qu’il ne doit pas m’oublier.
Le pas précipité de la donzelle
Ça y est, j’ai des devoirs, j’ai des devoirs
! Ma grande petite bonne femme jaillit du bus de ramassage scolaire comme un petit diable tout en traînant son cartable à sa suite, trop grand et trop vide.
L’autodétermination du hamster dans sa roue
Marche ou crève. Voilà le monde dans lequel nous vivons. Voilà le monde dont on a hérité et probablement celui que nous allons léguer à nos enfants. Pas de quoi pavoiser.
Quand le patronat s’enrhume, les salariés toussent
Alors, ça y est ? Bien rentrés de vacances ? La peau tannée, l’œil vif et le poil brillant ?
Ça tombe bien, parce que la rentrée va être chaude bouillante… pas la rentrée sociale, le bon vieux marronnier que l’on nous sert à chaque fin d’été, non, votre rentrée à vous, sur fond de fièvre grippale et de dérogations massives au Code du travail…
Autopsie du sentiment amoureux
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