Il y a des microcosmes où le retour d’ascenseur est un art qui ferait pâlir d’envie les héritiers de monsieur Otis.
Il y en a d’autres où on se renvoie le monte-charge, non pas qu’il y a quoi que ce soit à y gagner, mais juste parce qu’on en a envie, parce qu’on veut partager une petite joie discrète et flamboyante.