Il existe des films dont même la distribution éclatante ne peut faire oublier l’austérité du sujet et que, du coup, nous allons voir à reculons.
Dommage pour nous!
Parfois, juste pour mieux apprécier le bon cinéma ensuite, on se regarde une bonne grosse bousasse sans intérêt. Et encore, c’est assez difficile à trouver, tant on est bon public, pour ne pas dire cinéphages!
Ce matin, je me suis réveillée avec un horrible cauchemar encore en tête : le Culkin nouveau était arrivé dans les rayonnages, comme un mauvais picrate du mois de novembre!
Il y a deux manières de considérer le cinéma : comme une industrie juteuse vouée au divertissement ou comme un média, un art permettant de faire passer un message, voire d’éduquer le spectateur.
The Corporation se contente de nous ouvrir les yeux sur le fonctionnement intime des entreprises et par ricochet, de notre civilisation.
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