Les éditions Filaplomb remettent la nouvelle au goût du jour, vous savez, ces petits textes courts, concis, ces petits diamants de littérature que l’on pouvait débusquer dans les revues littéraires.
La posture du râleur debout
Il y a des microcosmes où le retour d’ascenseur est un art qui ferait pâlir d’envie les héritiers de monsieur Otis.
Il y en a d’autres où on se renvoie le monte-charge, non pas qu’il y a quoi que ce soit à y gagner, mais juste parce qu’on en a envie, parce qu’on veut partager une petite joie discrète et flamboyante.
Lectures du bout du monde
Pendant que tout le petit gotha autoproclamé de l’édition parisienne fait ses gorges chaudes du pensum obligatoire de la rentrée (qu’importe si c’est médiocre, ce qui compte, c’est d’en parler au moins autant que les autres!), de petits éditeurs cherchent à sortir des sentiers battus et (les fous!) à découvrir de nouvelles plumes, de nouveaux talents, à nous entraîner vers de nouveaux rivages littéraires.
Le monde selon Franquin
Bien sûr, j’ai toujours été fan de Gaston Lagaffe, mais ce n’est pas à ce personnage poétique que je pense alors que, depuis mai dernier, j’ai l’impression d’être coincée dans une BD du génialissime dessinateur belge.
L’œil du cyclone
À 5 jours du scrutin et après des mois de marathon politique épuisant et stérile, il est temps de prendre un peu de recul en se dépêchant de remettre ses neurones en bon ordre de marche. De toute manière, il n’y a plus grand chose à attendre de ce qui nous a tenu lieu de campagne présidentielle, comme une serviette en papier peut faire office de pot de chambre.
En attendant Noël
Comme le dit si bien Monsieur Le Chieur, un bloguer qui n’a pas un bouquin à vendre est un loser.
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