Il y a la presse-sandwich, qui glisse une fine couche d’infos vides qui brossent tout le monde dans le sens du poil entre deux grosses tranches de pub bien juteuses et puis il y a la presse-passion, avec plein de vrais bons gros morceaux d’informations qu’on ne trouve nulle part ailleurs et qu’une tribu de journalistes intègres et enragés est allée chercher sauvagement jusqu’au fin fond des latrines de la République.